Le cygne est cet oiseau au cou courbé avec de belles plumes blanches, les deux pieds palmés et qu’on regroupe dans la famille des canards Anatidae.
Dans la mythologie grecque, le cygne est l’oiseau dédié à Apollon, le dieu du chant, de la musique et de la poésie parce que juste avant de mourir, le cygne chante davantage et avec plus de force. Et la légende de raconter qu’un cygne muet, sentant venir sa mort, chanta pour la première fois une mélodie de la manière la plus merveilleuse. Cette caractéristique a donné l’expression « le chant du cygne », expression qui s’applique aujourd’hui à tout personnage dont on sent qu’il veut réaliser une dernière grande action avant la fin de sa carrière. Son mandat chaotique s’achevant au plus tard le 14 Juin 2013, Mamadou Sow, Président de la Ligue de Football de Ségou, réveille les ségoviens depuis le mois de janvier avec le sinistre « Chant du Cygne ». Fuyant et apeuré par l’ombre de tous ceux qui le menacent dans son ambition de rempiler pour un autre mandat de 4 ans, après celui de 2009 où « Le Ségovien » vous livre les révélations catastrophiques de son élection par le Comité National Olympique Sportif Malien, un vrai putsch (PAGES 4 et 5), l’homme se croit comme un éléphant dans un magasin de porcelaine : suspension de dirigeants sportifs ne soufflant pas aujourd’hui dans la même trompette que lui (AS BITON et OFFICE DU NIGER SPORTS), chantage et menaces de poursuite judiciaire (DISTRICT DE BLA), renouvellement en catimini de bureau (DISTRICT DE NIONO) sans convocation d’assemblée générale pour un délai légal après avoir écrit une lettre à la FEMAFOOT demandant sans succès la prorogation du mandat du bureau de Niono pour une raison farfelue qu’est l’insécurité alors que des rencontres du championnat régional se jouent à Niono et enfin pris la main dans le sac par le Préfet de Macina (PAGE 5) dans un simulacre d’assemblée générale de mise en place de bureau (DISTRICT DE MACINA) ! Affaibli et sentant ses retraites coupées, Madou Sow joue maintenant son baroud d’honneur en nous assignant en justice. Eh bien ! Dieu en fasse que celui qui se croit investi de pouvoir tout en détruisant notre football par des agissements indignes de la justice sportive, offre l’opportunité aux ségoviens de découvrir le messie en papier de notre football. Pour peu qu’il ne signe pas forfait et se rende physiquement au procès, puisque celui qui est à l’origine du tintamarre dans notre football depuis 4 ans est toujours invisible dans l’arène sportive. C’est aussi tout le bien que nous pouvons souhaiter au football de Ségou car au-delà du procès en diffamation qu’il pense intenter contre « Le Ségovien », nous considérons que c’est l’occasion idoine pour une justice ordinaire de l’Etat de s’imprégner de la mauvaise gestion du football à Ségou et des triches que ce dernier et son bureau ont entretenues 3 ans durant autour de notre sport roi et surtout de juger entre nous qui est vraiment le bourreau et qui est vraiment la victime du football de Ségou. C’est tout cela, avec preuves à l’appui, depuis la saison 2009-2010, que nous offrirons au juge pour démontrer que notre football a ses règles et son code sur lesquels il ne faut pas transiger. Si vous les transgressez vous serez dénoncés et qualifiés tel, comme un vulgaire pickpocket du marché de Baroueli dont l’honneur ne peut être blanchi devant une cour impartiale. « Le Ségovien » qui fait depuis 3 ans la promotion des jeunes sportifs de Ségou avec les résultats flatteurs (3 participations à la montée en 1ere Division et un sacre pour jouer l’élite) prouvera à ses détracteurs qu’il demeure toujours cet arbre, le cactus (qui s’y frotte s’y pique) et donne rendez vous donc ce 30 Avril 2013 au Palais de Justice de Ségou à tous ceux qui se battent contre le mensonge, épris de justice sportive, refusant le diktat de ceux qui veulent, avec le tripatouillage des textes, transformer notre sport roi en moyen de récompense pour des alliés de circonstance. Ainsi, ce sera pour Madou Sow et sa ligue moribonde le début de la fin, la période ultime où le chant du cygne sonnera définitivement le glas ! Pour lui d’abord. Et pour ses médiocres scribouillards !