Pour Cheick Tidiane Diagouraga, représentant de Fofy Industrie, l’organisation de la Febak de cette année est une réussite.
“Le maquillage, la sécurité, la circulation entre les pavillons sont vraiment au top. Le jour de l’inauguration, il y a eu quelques incidents, la mise en place devait être terminée à 14 h, mais cela n’a pas été respecté. Alors que les Algériens avaient déjà fini de leur mise en place. Le comité d’organisation n’a pas pu respecter l’heure, ce genre de comportement peut ternir l’image du pays. Pour notre entreprise, c’est la première fois que nous participons à la cette foire internationale. Le marché est passable, comme on est au début, peut-être qu’à la deuxième semaine, il y aura beaucoup d’affluence. A la Febak, généralement les visiteurs viennent le soir et le week-end”, affirme M. Diagouraga.
Bakary Cissé, artisan à la Maison de l’artisanat de Bamako, en est à sa quatrième participation à la Febak. “Cette année, les artisans du Mali ont été frustrés par le comité d’organisation qu’ils leur devaient 56 stands”.
Pour Djibril Tangara de la Fondation Orange, au pavillon F, c’est la première fois qu’elle participe à la Febak. “Je pense que l’organisation est à 95 % réussie. Pour le côté sécuritaire, les visiteurs, la circulation tout va pour le mieux. Le département de la responsabilité sociale d’entreprise est là pour montrer à la population qu’Orange-Mali n’est pas uniquement commercial. Nous sommes là pour tisser avec la population le côté humanitaire, social et sanitaire de la Fondation Orange Mali. Beaucoup de visiteurs sont étonnés des informations que nous véhiculons. Nous avons aussi un car mobile à la porte pour toutes informations. “.