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Pour offrir un espace d’hébergement, de jeux et de divertissement à la jeunesse : Le ministre Amadou Koïta lance les travaux de construction du foyer des jeunes de Massigui
Publié le mercredi 17 janvier 2018  |  Le Pays
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Le ministre de la Jeunesse et de la Construction citoyenne, Amadou Koïta a procédé, le dimanche 14 janvier dernier, à la pose de la première pierre du foyer des jeunes de Massigui, une localité située à 80 km de Dioïla. C’était en présence de l’honorable Mamadou Diarrassouba et son collègue Yiri Keïta, tous élus dans la circonscription électorale de Dioïla.

Après les salutations d’usage des autorités coutumières de la localité, le maire de la commune rurale de Massigui, Bafotigui Coulibaly a présenté géographiquement la commune de Massigui. Selon lui, elle compte 68 694 habitants. Ainsi, dit-il, c’est la plus grande commune rurale du cercle de Dioïla. « Situé à 240 km de Bamako et à 80 km de Dioïla son chef-lieu de cercle. Sur cette distance, Massigui souffre de la dégradation de la route. Nous souhaitons l’accélération des études à cet effet. Ce coup d’accélérateur aux travaux fait naitre beaucoup d’espoir. Nous osons vous recommander la garantie que l’ouvrage sera dans de bonnes mains », a-t-il ajouté.



Selon lui, le foyer des jeunes de Massigui sera un lieu d’hébergement, de divertissement, de jeux et de réunion pour la jeunesse de la ville. À le croire, au-delà du foyer, les jeunes de Massigui comptent sur les plus hautes autorités pour la construction d’un complexe sportif dans leur localité.

Et d’inviter le ministre à mettre en œuvre des initiatives de création en faveur de la jeunesse de Massigui. Ainsi, il a rendu un vibrant hommage au premier questeur de l’Assemblée nationale, l’honorable Mamadou Diarrassouba pour ses actions en faveur du développement du cercle de Dioïla en particulier celui de Massigui.

Pour sa part, le député élu de Dioïla, l’honorable Mamadou Diarrassouba s’est réjoui de la pose de la première pierre du foyer des jeunes de Massigui qui est la réalisation d’une promesse tenue par le ministre Koïta. Avant d’exhorter les jeunes à l’entente, seul gage d’un développement harmonieux. Il les a également invités à dépasser les questions de personne et à s’investir pour des causes communes.

Il a saisi l’occasion pour souhaiter assister à l’inauguration de la route Dioïla-Koualé d’une distance de 144 km. Pour lui, la réalisation de cette route permet de relier deux grandes zones de production agricole de notre pays. Aussi, il a annoncé la construction très prochaine d’un lycée public à Massigui.

À sa suite, le ministre de la Jeunesse et de la Construction citoyenne, Amadou Koïta a indiqué que conformément aux dispositions du Programme national de promotion de la jeunesse (Pnpj), son département s’est résolument engagé dans une politique de réalisation d’infrastructures socio-éducatives de jeunesse sur toute l’étendue du territoire national.

D’après lui, la réalisation de ces infrastructures vise à améliorer les conditions de travail, de séjour et de rencontre des jeunes. « Cette réalisation participe à la consolidation de la paix et de l’unité en milieu jeune. Aussi, elle contribue positivement à la formation, à l’information, à l’encadrement et à l’insertion socio-économiques des jeunes », a martelé le ministre Koïta.

À l’entendre, la démarche de son département est conforme au Programme d’urgences sociales du président IBK qui consiste à atténuer la souffrance des populations par le développement des services sociaux de base. Et de poursuivre que le foyer des jeunes de Massigui, bâti sur une superficie de deux hectares, répond aux normes requises du plan de réalisation des infrastructures de jeunesse pour un coût total de 298 965 810 de nos francs, financé par le budget national.

« L’édifice qui sera réalisé ici, est le vôtre, à cet effet, une synergie d’actions doit être nourrie par l’ensemble des acteurs notamment les autorités politiques et administratives, les organisations de la société civile, les partenaires afin de l’intégrer dans les plans de développement socioéconomique et culturel de la localité », a-t-il conclu.

Mama PAGA

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