Elu en 2013 sous la couleur du Rassemblement pour le Mali (RPM), l’honorable Mamadou Diarrassouba, c’est de lui dont il s’agit, n’est pas un inconnu aujourd’hui sur l’arène politique malienne, et surtout dans la région de Koulikoro (2ème région administrative du Mali), notamment dans le cercle de Dioïla, d’où il est natif. Elu Secrétaire à l’organisation lors du dernier congres du RPM, le parti au pouvoir, Mamadou Diarrassouba, premier questeur de l’Assemblée nationale,de 2012 en nos jours a fait des réalisations qui ont donné un nouveau visage au cercle de Dioïla. Le caractère humanitaire, bienfaiteur, social a fait de lui aujourd’hui un homme incontournable, qu’on leveuille ou pas, dans la région de Koulikoro.
Pour être les témoignes oculaires des réalisations de l’honorable Mamadou Diarrassouba, une forte délégation de journalistes a rendu une visite dans le cercle de Dioïla, le week-end dernier. Partout où ils sont passés les populations ont exprimé leur reconnaissance envers l’homme qui est l’un des 5 députés élus du cercle de Dioïla.
Des mosquées ont été construites à Massigui, à Sèkèla, à Massara, à Boya et un Centre de santé équipé et disponible, des classes pour rendre la vie facile aux apprenants grâce au bon partenariat de l’ONG Al Farouk dans le cercle de Dioïla qui est composé de 23 communes. Des kits solaires ont été offerts aux élèves et un don au centre de santé communautaire à NGolobougou situé à 40 Km de Dioïla au sud. A Togo (village) à 55 Km de Dioïla au sud dans la commune rurale de Massigui, un centre de santé communautaire financé par l’Etat malien y est opérationnel depuis 2O16. A Sanakoro (Village) situé à 62 Km de Dioïla au Sud, le centre de santé à reçu des kits solaires de la part de l’honorable Mamadou Diarrassouba.
Tout de même, le centre de santé communautaire de Massigui a ses nouveaux bâtiments, des kits solaires et un laboratoire. A 30 Km à l’Est de Massigui, à Seribila, soit à110 Km de Dioïla, la population est reconnaissante envers l’honorable Mamadou Diarrassouba pour son appuidans la construction dune mosquée et pour avoir aussi doté la même infrastructure de Kits solaires.
La commune de Massigui vient de voir la pause de la première pierre de la Maison des jeunes financée par le budget national à hauteur de près de 300 millions de FCFA, un bâtiment qui doit servir à la fois d’un lieu de divertissement et d’hébergement pour la jeunesse de Massigui et environnants.
« Si j’attends que la population vient à moi pour exprimer ses besoins, cela voudrait dire que je ne joue pas mon rôle… »,
L’homme connu pour ses francs parlés, nous a confié que lui en tant quenatif de la localité, n’a pas besoin que la population vienne lui dire ce dontelle a besoin. Selon lui, du fait qu’il soit natif de la localité, il doit savoir naturellement les préoccupations des populations : « Si j’attends qu’elle vienne à moi pour exprimer ses besoins cela voudrait dire que je ne joue pas mon rôle », a-t-il dit. Mais qu’à cela ne tienne, ajoute-t-il, « on a écouté les gens, on a entendu leurs cris de cœurs et on sait vraiment qu’elles sont leurs préoccupations ». Aujourd’hui, selon l’honorable Diarrassouba, ilconnait les problèmes et les préoccupations de chaque village du cercle de Dioïla.
Toutefois, il a mis l’accent sur les deux préoccupations majeures qui sont les routes de Dioïla-Massigui et celle de Fana-Beleco-Kiya. « Certes, le pont est une des préoccupations, mais les routes en sont les majeures. « Rien ne pourra en réalité être bien apprécié par la population tant que les deux réalisations ne seront pas faites à savoir les routes », a-t-il soutenu. Et de reconnaitre qu’au-delà des routes il y a bien entendu beaucoup d’autres préoccupations.
Par ailleurs, l’honorable Mamadou Diarrassouba a révélé que les études sont avancées avec le bureau d’étude ‘’CIRA’’ d’un montant de 500 millions de francs CFA pour le pont de Dioïla. « Nous voulons que le pont de Dioïla se fasse dans six mois, mais le bureau nous demande de lui donner une année. Qu’à l’hivernage il pourra faire bien ses études surtout pour connaitre la direction de l’eau », a-t-il indiqué. Et de préciser les études de la route Dioïla-Massigui-Kowalé sont en cours, et par contre celles de la route Fana-Kélégou-Mena-Keya n’ont pas encore commencés.
RPM est un parti difficile à battre à Dioïla
Selon l’honorable Diarrassouba l’achat des consciences à la veille des élections n’est pas une habitude chez le RPM à Dioïla, car il n’en a pas besoin. « De 2012 à nos jours je l’ai dit, c’est difficile de battre le RPM à Dioïla, ce n’est pas parce que je joue un rôle fondamental non. En 2007 je n’étais pas député, mais j’avais toujours le plus grand nombre de maires et de conseillers », a-t-il évoqué. Selon lui, c’est une question de confiance et la vérité. « Nous disons toujours la vérité à nos militants et c’est pour cette raison que les militants nous font confiance. Nous ne donnons pas de fauxespoir aux gens. Nous ne faisons pas de promesses que nous ne pouvons pas tenir », a-t-il révélé.
Ainsi, il a profité de l’occasion pour saluer et remercier les partenaires qui l’accompagnent dans le développement de sa localité, notamment l’ONG Al Farouk. Il a rassuré que les projets qui sont en perspectives seront réalisés.