Suite à l’organisation conjointe du Hadj 2017 avec l’agence AL OMRA, Safa-Voyage représenté par la directrice, Mme Sidibé Aicha Diawara, s’est vue escroquée à hauteur de 50 millions FCFA. Ce fait difficilement soutenable est reproché à l’agence AL OMRA de Bakary Demba Sylla. Qui, n’ayant pas respecté les clauses de la convention, refuse de rembourser sa victime. Au nom d’un carnet d’adresse bien garni au niveau de la justice qui l’a écroué un mois durant avant qu’il ne paie 1O millions FCFA pour obtenir sa liberté provisoire. Prêt à sacrifier cette rondelette pour lui permettre de pavaner dans la nature, le directeur de l’agence AL OMRA qui laisse paraitre une piété irréprochable, n’est pas prêt à revenir sur ses faits non dignes d’un fervent musulman.
La convention scellée entre les deux agences était que la somme de 50 millions FCFA soit payée par Safa-Voyage qui engageait AL OMRA représentée par Bakary Demba Sylla, à transférer 35 pèlerins à son partenaire Safa. Ce qu’il n’a pas fait.
Arrivée à la Mecque, grande fut la surprise de la directrice de Safa-voyage quand elle s’est rendu compte que son partenaire d’alors ne lui a réservé que 5 pèlerins sur 35 convenus. Pis, au retour de la Mecque, son bourreau refuse de lui rembourser le reliquat des 30 pèlerins. Prise de colère face à cette injustice, la victime s’est voulue légaliste. C’est ainsi qu’elle a traduit son tortionnaire devant la justice qui a sommé le directeur de l’Agence Al OMRA, Bakary Demba SYLLA dit ‘’Bassaro’’, de rembourser les 50 millions à la dame Mme Sidibé. Malgré son escroquerie avérée, le patron de l’agence AL OMRA n’a pas voulu s’acquitter.
La sommation aura été vaine, car le hautain Bassaro ne s’est pas soumis à cette décision de justice jusqu’à ce qu’il écope par la suite d’un mois d’emprisonnement. Irrespectueux de la justice malienne, le directeur de l’agence AL OMRA, selon des sources, aurait payé 10 millions de FCFA pour obtenir sa liberté provisoire. Une velléité manifeste de la part de ce semblant homme de Dieu qui se veut plutôt soumis à la volonté des hommes que celle divine qui ne cautionne nullement le fait qu’une créature cause du tort à son prochain. Mais l’islam autrement serait pour le directeur de l’agence AL OMRA, de berner et d’escroquer ses proies. Il s’en tape même la poitrine et refuse de reverser le reliquat des 30 pèlerins à Mme Sidibé Acha Diawara. Victime d’un homme qui n’a rien à envier à un tyran, tapi sous une veste musulmane qui vient de mettre en doute sa crédibilité et celle de son agence. Insoucieux et mine de rien, le directeur épaulé par des responsables véreux, conduit certainement sa victime à la faillite alors que son agence prospère sous des cieux en arc-en- ciel qui promettent certainement des vagues de nuages à venir.