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Repas de corps de la DIRPA 2018: Pour renforcer la cohésion entre les frères d’armes
Publié le jeudi 25 janvier 2018  |  Le Républicain
Dirpa
© Autre presse par DR
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Pour renforcer la cohésion entre les frères d’armes du Mali, l’Etat Major de l’armée a jugé nécessaire d’organiser le repas de corps à l’occasion de chaque 20 janvier, fête de l’armée nationale du Mali. Occasion pour le subalterne de se frotter au général sans barrière, dans la convivialité. Ainsi, l’édition 2018 du repas de corps de la Direction de l’Information et des Relations Publiques des Armée (DIRPA), a eu lieu le 25 janvier 2018, après les festivités du 20 janvier, au sein de la DIRPA. C’était sous la conduite du Directeur de la DIRPA, colonel Diarran Koné.

Ont été associés à ce repas de corps de la DIRPA, les frères d’armes de la Direction du commissariat des armées (DCA), et de la Direction des finances et du matériel (DFM) de l’armée de même que les civils, pour partager, d’être en symbiose pour renforcer la cohésion. «C’est une opportunité pour que le soldat se frotte au général sans barrière aucune. C’est un moment de détente, de communion entre nous. C’est également une occasion de faire baisser la pression du terrain, participé à un soin au moral, pour dire aussi que le chef n’oublie pas son personnel», a souligné le colonel Diarran Koné.

A l’occasion, le directeur de la DIRPA, colonel Diarran Koné, a donné son avis sur les relations civiles militaires dans cette période cruciale pour le Mali. Comme pour inviter les populations sans lesquelles il n’y pas d’armée, d’accompagner d’accepter de travailler avec elles pour faire à toute menace concernant la vie des citoyens et de la défense du territoire national. «L’armée est là pour les populations. La relation armée nation est très forte. Mais tout le monde ne se rend pas compte directement.

C’est les civils qui doivent être les premiers éléments de la sécurité : à donner l’information : informer, dénoncer tout ce qui ne va pas avant que les militaires ne soient sur le terrain. La défense est d’abord citoyenne avant d’être militaire. Il n y a pas de guerre sans information et de renseignement. Nous devons nous engagés dans la même direction pour nous permettre de sortir de cette situation. Bref, je dirai que c’est une relation d’accompagnement permanente, réciproque, de confiance qu’on doit avoir entre militaires et civils», déclare le colonel

Diarran Koné.
H.B. Fofana
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