L’avènement de Soumeylou Boubèye Maïga à la primature, a été d’une manière ou d‘une autre salué en partie et dénoncé par d’autres compatriotes et non les moindres. Comme nous l’avons dit dans nos précédentes éditions, en tendant la main à Alger (dont nous ne voyons aucun apport positif afin de nous sortir de ce pétrin), la compétence de nos jours du PM SBM est en jeu tout comme la perspicacité d’IBK, comme nous explique cet analyste.
Et chaque jour, la pression se fait forte sur le régime IBK eût égard aux attaques meurtrières contre les FAMAS, même les civils ne sont plus épargnés. Depuis quelques temps, ces hommes armés ont changé de stratégie s’en prenant à tous (civils et militaires).
Personne n’est plus épargné par ces tueurs lourdement armés dont l’objectif est de créer un vrai chaos dans le pays afin de réaliser leur dessein malgré une forte présence militaire étrangère dont certaines continuent à débarquer chez nous sans aucune efficacité.
Maintenant, comme nous a susurré un proche du régime, Ladji Bourama ne tardera plus à sortir la grosse artillerie face à l’insécurité grandissante dans le pays, élection présidentielle oblige. Les heures et jours à venir seront déterminants, précisent nos sources. Dieu sait que l’armée malienne regorge en son sein des hommes valables dont la plupart ont été jeté en pâture à cause de leurs compétences. Le Président IBK saura-t-il les récupérer pendant qu’il est temps?
En tout cas, l’heure est grave. Aucune tergiversation n’est plus permise. S’assumer ou c’est le chaos car, personne ne viendra nous sortir de ce pétrin.
A l’Opposition, comme la CMP et à une certaine société civile, nous dirons que l’heure de la synergie a sonné. Tout autre discours ou acte sera anti patriotique. Le peuple jugera !
Aux marchands d’illusions, de comprendre qu’ils ne seront pas écoutés car, ils sont compris puisque leurs déclarations et autres semblants de programmes pour apporter le renouveau du Mali, montrent à suffisance qu’ils jasent que pour leurs propres intérêts car, le seul discours ou acte qui vaille, c’est de sauver la République en danger imminent d’effondrement.