“La symbiose entre les populations que l’on connaissait naguère a disparu. Chez nous, il n’y a que des difficultés. Les autorités de l’Etat nous parlent d’insécurité résiduelle et d’éléments égarés, mais comment voulez-vous croire à la paix quand des gens sont tués en pleine rue et que nous souffrons de la mauvaise gouvernance ?”, s’interroge Boubacar Sadek, un adjoint au maire de Tombouctou à nos confrères français du journal Le Figaro.