En milieu de semaine dernière, les forces de l’ordre ont mis le grappin sur un groupe de jeunes violeurs d’une jeune fille à Bamako. C’est grâce à la vidéo sur les réseaux sociaux, provoquant la colère et d’indignation que ces jeunes et plusieurs autres ont payé leurs forfaits.
Ils étaient nombreux à interpeller les forces de l’ordre à faire face à cette horreur qui ne saurait être tolérée dans une société humaine. Les politiques ayant pris toutes les mesures nécessaires, les limiers ont mis à contribution les moyens adéquats pour appréhender les malfrats.
Nul ne doit ignorer l’influence des réseaux sociaux aujourd’hui sur notre vie quotidienne. Ces moyens de communication s’imposent de plus en plus dans nos usages traditionnels. C’est pourquoi il est libre de croire qu’ils ont servi de coup d’accélérateur dans l’affaire de viol collectif afin que les forces la prennent à bras le corps.
Si les réseaux sociaux sont vilipendés à cause de leur accès à tous, certains de ses usagers savent utiliser à des fins nobles.