Trop c’est trop ! Les travailleurs de la BMS SA, chargent leur représentant, c’est-à-dire, le bureau syndical de porter à la connaissance du grand public d’ici et d’ailleurs, que le temps de leur devoir de réserve est terminé et qu’ils ne se laisseront plus trimbaler par les arnaqueurs qui fourmillent et notamment, Saran Gossi Saran Simpara
Et voilà, comme toujours les mauvaises choses qui empestent l’air à respirer finissent par soulever l’ire des gens. Les travailleurs de la BMS SA, sous l’autorité de leur comité syndical, forts de ce qu’ils savent sur cette affaire. Suivant jusqu’ici et dans ce qu’on pouvait qualifier d’indifférence, en s’abstenant de tout commentaire de la supposée affaire qui opposait dame Saran Simpara à leur banque à travers sa direction, ajouter à cela toutes les tribulations médiatiques possibles en raison du secret bancaire et du respect des procédures judiciaires du Mali, Saran qui a intenté 23 procédures en pénal et en civil contre leur outil de travail( La BMS SA) et sans oublier les procédures de conciliation menées de sa propre initiative par le ministère du Commerce, les religieux, l’APB et les avocats, le comité syndical a décidé de sortir de son silence. L’affaire dure depuis 2011. Mais toujours selon eux, aujourd’hui, le volet final de l’affaire ayant définitivement terminé, les travailleurs décident de ne plus se taire et décidés de défendre leur instrument de travail qu’est la BMS SA. Saran Traoré toujours selon le comité syndical, doit plus de 371 millions à leur banque alors qu’elle n’y effectue aucun dépôt, cela contrairement à ses dires, fondés sur des résultats de pseudos spécialistes du cabinet MAECO, pourtant perché sur ses 34 ans d’expérience. Saran doit payer les 317 millions qu’elle doit à la BMS, tranche les travailleurs de la banque. Les ressources financières de la BMS SA, ajoutent-ils ne sont d’autres que, les dépôts des clients et les ressources des bailleurs de l’extérieur.
Ils(les travailleurs) protégeront les ressources de leur banque contre tous les prédateurs d’où qu’ils viennent.
La BMS, argumentent- ils, est depuis sa création, en 2002 régulièrement contrôlée, auditée par la commission bancaire et par les auditeurs extérieurs. Au regard de ce qui précède, la BMS SA, n’a aucune leçon de déontologie à apprendre de qui ce soit encore moins de Saran Gossi Simpara et ses acolytes. S’agissant du fameux et fumeux rapport d’audit, qui sous tendait les prétentions de Saran Gossi Saran Traoré, les travailleurs de la BMS SA, à travers leur comité syndical, entendent saisir l’instance suprême des banques qu’est la commission bancaire et l’ordre des experts comptables pour sévir et sanctionner les faux experts qui ont élaboré ce document qu’ils qualifient d’insipide. Au besoin, toujours selon les travailleurs de la BMS SA, ledit rapport sera décortiqué, par leurs soins et porté à la connaissance du public. Ce n’est pas en commanditant un rapport qu’on réussit un holdup de 2 milliards des caisses d’une banque appartenant au peuple malien. Quand bien même, le braqueur s’appelle Saran Gossi Saran terminent –ils. De quoi dire aujourd’hui, que les travailleurs de la BMS SA, fâchés qu’ils soient, se décident de monter au front contre l’arnaque dont leur outil de travail est victime