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Méchancetés politiques : Qui veut salir l’honorable Chato ?
Publié le lundi 23 avril 2018  |  Le 22 Septembre
Cérémonie
© aBamako.com par mouhamar
Cérémonie d`ouverture de la première édition du Festi` Bazin
Bamako, le 04 Septembre 2014 au Palais des sports. Madame le ministre de la culture, Ndiaye Ramatoulaye Diallo a présidé ce jeudi, la cérémonie d` ouverture de la première édition du festival de Bazin (FESTI`BAZIN) qui se tient du 04 au 06 Septembre 2014.Photo: Haidara Aissata CISSE dit Chato, député du parlement malien.
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Depuis un certain temps, des leaders politiques de l’opposition, des associations politiques, des mouvements des jeunes, tentent de se mettre ensemble pour réussir l’alternance. Pour y arriver, aucun projet politique, aucune proposition, encore moins une idée novatrice ou une politique sectorielle, n’a été dévoilé à l’opinion publique nationale et internationale. Au contraire, ces retrouvailles autour de l’alternance deviennent dures, difficiles voire impossibles. La question de la candidature unique, préconisée par le tonitruant Tiébilé Dramé, reste au point mort. Tout le monde veut une candidature unique, mais personne n’est prêt à céder à l’autre. Ce qui fait que l’échec est assuré au bout du rouleau, sans compter les tentatives en cours de certains partis de l’opposition (MC-ATT, PDES) de s’y éloigner d’une manière ou d’une autre. D’autres volte faces, selon des informations absolument crédibles, interviendront incessamment.

Face à cette donne, avec à la clé une défaite assurée à la présidentielle prochaine, l’opposition continue sa stratégie de propagande politique sur les réseaux sociaux et des sites créés spécialement pour les besoins de la cause. Les mensonges, la diffamation, la délation, les dénigrements, la médisance constituent le jeu favori de cette opposition en perte de vitesse. Tout cela n’ayant donné le résultat escompté, parce que les Maliens n’aiment pas les insultes, on change d’arme et on s’adonne aux accusations en dessous de la ceinture. Quelle infamie !



On s’en prend méchamment au Président de la République, comme si c’était un vulgaire personnage. Où est la Sécurité d’Etat ? Que fait-elle ? On ne la sent pas au cœur de l’Etat. Est-elle incompétente ? Les hommes de Diawara sont-ils complices de la situation ? Diawara a-t-il une main mise sur ses agents ? Il y’a des choses, qu’on ne laisse jamais dire sur un président de la République. Sans conséquences.

Au Sénégal, les services de renseignements ont pu mettre la main sur un vulgaire individu qui insultait MackySall, depuis les USA sur les réseaux sociaux. D’abord, il a été expulsé vers Dakar, ensuite, à son arrivée il a été arrêté, puis jugé et mis en prison. La Sécurité d’Etat a le devoir absolu de protéger la première Institution de la République. C’est sa raison d’être. Pourtant on ne la sent pas du tout. Elle est totalement absente sur ce chantier. Il est temps qu’elle se ressaisisse afin de revenir à ses fondamentaux (nous y reviendrons).

Le débat de caniveau, au niveau de la ceinture, est une défaillance morale des politiques qui en font une arme de guerre. Comme un boomerang, celle-ci se retournera contre eux, comme nous sommes en train de le constater.

Outre le président, tous ceux qui se sont engagés, avec détermination pour la réélection d’IBK sont dans le viseur de l’opposition. C’est ainsi que l’honorable Mme HaïdaraAïssata Cissé (Chato), une femme active, dynamique, qui a courageusement invité IBK à se porter candidat, a été impudiquement attaquée.

Certains n’ont pas apprécié ses nombreux voyages dans la sous-région pour défaire les mensonges colportés sur le régime IBK.



Présidente du Caucus des femmes du Parlement panafricain, Présidente des femmes parlementaires du G5 Sahel, Vice-Présidente du Comité de réflexion pour une nouvelle coopération française en Afrique (CANFCA), présidé par Jacques Godfrin, ancien ministre de la Coopération française, Chato voyage comme un oiseau en liberté et combat activement les contrevérités distillées çà et là par une opposition en perte de vitesse et d’arguments. Elle est candidate du Mali au poste de vice-présidente du parlement panafricain dont l’élection aura lieu le 10 mai prochain. Peut-être qu’elle va réussir là où Soumaila Cissé a mordu la poussière, il y’a trois ans. En tout cas elle en a l’étoffe.

Cette honorable dame, appréciée par les populations de la région de Gao, et au-delà, pour ses bonnes œuvres, son engagement, son plaidoyer pour la paix et l’unité du Mali, est aguerrie contre la méchanceté et les mauvaises langues, encore qu’elle a totalement le soutien de son mari, qui la connait mieux que quiconque, qui la soutient dans son combat politique, dans son combat pour un Mali meilleur.

Les attaques gratuites et méchantes à son endroit ne la freineront point. Elles la galvanisent et la rassurent plutôt, afin de poursuivre le travail entamé.

Comme dirait l’autre, « le chien aboie, la caravane passe » !

Elhadj ChahanaTakiou
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