Faire venir le directeur des associations de la FIFA au Mali sans informer les autorités maliennes a été une erreur de trop de la part de Mme Daou présidente du CONOR et pire on n’informe pas le ministre des sports sauf qu’après que la FIFA décide de proroger le mandat du Comité de Normalisation. Et c’est en ce moment que le ministre ait été informé par la présidente, pis elle souhaite même rencontré le ministre des sports du Mali. Dans un pays sérieux et avec un ministre responsable comme maitre Jéan Claude Sidibé avocat d’affaires de son état, ancien président de la fédération malienne de Basket, chez lui on ne badine pas avec l’autorité. Son niet a été salué par tout le monde et cela augure un lendemain meilleur pour nos dirigeants qui méritent désormais respect et considération. Il n’est pas comme son prédécesseur un certain OuseyniAmionGuindo, celui par qui le Mali a été suspendu par la FIFA à cause d’une histoire de fesse.
Cette visite est plus que jamais une polémique du fait qu’aucun autorité malienne n’a été informé et on parle de corruption déguisé du monsieur Afrique de la Fifa, c’est-à-dire le directeur des associations de Gianni Infantino le congolais Veron OMBA. Pourquoi du fait qu’il est arrivé seul à Bamako et cela n’a pas été compris par le monde sportif malien pendant la crise et au moment de la mise en place du CONOR ils sont tous venus à Bamako à deux voire trois personnes. Cette fois ci, il vient seul parce qu’il y a un enjeu et cet enjeu c’est la voie du Mali lors du vote de l’attribution de la Coupe du monde le 13 juin prochain. Alors il est simple de donner des ordres à Mme Daou Fatoumata Guindo et non à un comité exécutif et c’est pourquoi cette visite a été effectuée seul et mieux avec un diner chez la présidente du CONOR. Jamais une délégation de la FIFA n’à diner, déjeuner encore moins prendre un verre chez un dirigeant de la Femafoot à forte raison une présidente de Comité de Normalisation qui est là pour un temps bien déterminer en avance par la FIFA. Ca sent du roussi ! Les prochains jours nous édifierons