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Élection présidentielle : Jean Marie Idrissa Sangaré, candidat du parti JAMAA
Publié le jeudi 3 mai 2018  |  L’Essor
Cérémonie
© aBamako.com par I.DIA
Cérémonie de lancement du rapport sur les organes audiovisuels publics en Afrique: Le cas du Mali
Bamako, le 12 septembre 2013 à l`hôtel Radisson Blu. Le ministre de la Communication et des Nouvelles Technologies de l`Information, M. Jean Marie Sangaré vient de présider la toute première cérémonie de son département depuis la passation de témoin, qui est le lancement du rapport sur les organes audiovisuels publics en Afrique: Le cas du Mali .
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Le parti Jamaa a organisé, dimanche dernier, son tout premier congrès ordinaire au mémorial Modibo Keïta. Le président du parti, Jean Marie Idrissa Sangaré, avait à ses côtés le 1er vice-président, Mamadou Habib Diallo et le 2è vice-président Mohamed Guissé. De nombreuses personnalités politiques, en l’occurrence le chef de file de l’opposition, Soumaila Cissé de l’Union pour la République et la démocratie (URD), Me Mountaga Tall du Congrès national d’initiative démocratique (CNID) et Moussa Mara du parti Yéléma étaient présents.

Après les mots de bienvenue et de remerciement du premier vice-président, Mamadou Habib Diallo, la parole a été donnée aux personnalités politiques invitées. Sur la question de l’alternance politique, l’ancien Premier ministre Moussa Mara a fait savoir que le problème ne se situait pas au niveau des hommes, mais plutôt au niveau du système mis en place. Quant au chef de file de l’opposition, Soumaila Cissé, il s’est focalisé sur la tenue normale des élections générales prochaines, ce qui l’a poussé à dire que pour les réussir «nous devons nous dire la vérité en face». Selon lui, «le Mali va mal». Pour le président du parti Jamaa, la situation actuelle du Mali est due à «une gouvernance basée sur le mensonge». Car, pour lui, des valeurs comme la dignité, la loyauté, le respect ne sont plus considérées. Jean Marie Idrissa Sangaré n’a pas oublié de noter également la part de responsabilité du peuple, qui selon lui, n’aime pas le travailleur. Pour M. Sangaré, l’heure de vérité a enfin sonné, et la seule solution au problème, c’est le travail et le retour à notre dignité perdue. A la fin des travaux, le parti a décidé de désigner son président à la présidentielle du 29 juillet 2018.

Amadou B. MAIGA
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