Certaines des exactions commises ces derniers jours notamment du côté du Niger au sud d’Andéramboukane ont été attribuées par des responsables de la communauté peule au Gatia et au Msa, deux groupes armés de la zone de Ménaka qui luttent aux cotés de la force française contre le groupe d’Abou Walid al sahraoui -EIGS Etat islamique au grand Sahara. Les civils tués sont-ils morts dans des violences communautaires, un terme privilégié par le CICR, ou des violences attribuées à des terroristes ? C’est une des grandes questions qui se pose et à laquelle il est difficile de répondre, nous dit Yvan Guichaoua, enseignant-chercheur à l’université de Kent à Bruxelles.... suite de l'article sur RFI