Alors que la date de l'élection présidentielle se rapproche au Mali, une complication subsiste: la ville de Kidal est toujours occupée par le MNLA. Dans une déclaration d’un des responsables de l’insurrection, datant du 22 mai et relayée par l'AFP, le groupe touareg affirme être prêt à accepter la tenue du scrutin dans cette commune, mais refuse catégoriquement d’y laisser rentrer l’armée malienne. Pour l’instant, seules les forces françaises et tchadiennes y sont présentes...... suite de l'article sur Slate Afrique