Le président de la République, Ibrahim Boubacar Kéita, a échoué sur tous les plans. Voici 10 bonnes raisons pour ne pas lui accorder un second quinquennat le 29 juillet 2018.
1- Il a un goût démesuré pour le luxe dans un pays où la majorité vit encore dans l’extrême pauvreté ; 2- Il est complètement déconnecté de la réalité quotidienne du pays. Il a passé tout son quinquennat dans les airs pendant que son peuple croupit sous la misère ; 3- Il ne tient que des discours sans fond, démagogiques à l’excès ; 4- Il a été au cœur de plusieurs scandales financiers durant son quinquennat qui ont coûté des milliards aux contribuables maliens ; 5- Pour lui le Mali se limite à sa famille ; 6- Il a la boulimie du pouvoir ; 7- Il a un état de santé très fragile qui ne lui permet pas de battre campagne à plus forte raison gérer un pays qui traverse la plus grave crise de son existence en tant qu’Etat ; 8- Il s’amuse avec le nom de Dieu à tout bout de champ alors que le diable est son principal allié ; 9- Il aime toujours se faire présenter comme victime en versant parfois des larmes de crocodile ; 10- le Mali lui a tout donné mais en contrepartie il est prêt a ruiné ce pays pour préserver ses propres intérêts.
En plus de ces raisons évoquées, le président IBK a transformé l’armée en une véritable caverne d’Ali Baba où ils font d’excellentes affaires juteuses. Pendant que des soldats exposent leur vie sous la canicule et les tempêtes de sable dans le septentrion malien, des membres indélicats de la famille présidentielle se sont enfermés dans leurs bureaux feutrés et climatisés de Bamako pour faire main basse leurs (militaires) primes. A tout point de vue, c’est un acte répugnant qui doit être châtié comme tel. C’est pourquoi l’on peut saluer déjà le bureau du vérificateur général qui a eu le mérite d’avoir levé le lièvre avec des rapports accablants de surfacturation des matériels militaires. Jusqu’à présent des enquêtes qui n’aboutissent rien à l’arrestation des bandits censés avoir tremper dans cette sale affaire. Le détournement des primes de soldats estimées à 700 millions de francs CFA. C’est pourquoi l’on peut dire qu’elle sonne comme une autre mauvaise publicité pour le régime d’IBK. Dès lors, on se pose la question de savoir quand est-ce que le régime IBK va se décider à mettre fin à ce genre de pratiques. Car autrement sous le régime d’IBK le pays court le risque d’exaspérer les partenaires financiers dont les aides lui permettent aujourd’hui de garder la tête hors de l’eau. Qu’Allah protège le Mali.