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Fabius retourne mardi au Mali pour parler de l’élection de juillet
Publié le lundi 27 mai 2013  |  AFP


© aBamako.com par SA
Coopération internationale : le ministre des Affaires Etrangères de la France Laurent Fabius en visite au Mali
Vendredi 5 avril 2013.Bamako. Les ministres des Affaires Etrangères de la France Laurent Fabius a rencontré successivement dans le cadre de sa visite au Mali Tieman Coulibaly, ministre des Affaires Etrangère du Mali et le Président Dioncounda Traoré.


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PARIS, Le chef de la diplomatie française Laurent Fabius se rend mardi au Mali pour la deuxième fois en deux mois afin de parler de la préparation de l'élection présidentielle, que Paris espère toujours voir organisée en juillet.

M. Fabius, qui s'était déjà rendu à Bamako début avril, s'entretiendra notamment avec le Premier ministre Diango Cissoko et le président Dioncounda Traoré, selon le programme officiel de la visite publié lundi.

Il rencontrera également l'émissaire Tiébilé Dramé, chargé des contacts avec les groupes armés - en particulier la rébellion touarègue MNLA - dans le nord du pays pour l'organisation du scrutin présidentiel.

"Sur le plan démocratique et politique les choses semblent avancer mais la route est encore longue (...) c'est pourquoi je me rends à Bamako pour faire un point d'étape détaillé", avait expliqué vendredi M. Fabius lors d'un point presse avec son homologue allemand Guido Westerwelle.

"Il faut des élections, et un dialogue entre le sud et le nord (...) il reste du travail à faire, mais il y a tout lieu d'être confiant", avait-il déclaré.

Une élection présidentielle, réclamée par la communauté internationale, est prévue au Mali en juillet. Le président malien de transition Dioncounda Traoré, dont le gouvernement est issu d'un putsch militaire, a assuré mi-mai qu'il "ferait tout" pour qu'elle débute le 28 juillet.

Paris, qui est intervenu militairement en janvier pour chasser les groupes islamistes armés qui occupaient le nord du pays et menaçaient de descendre sur le sud, insiste sur la tenue en juillet de ces élections, afin de redonner "une légitimité" aux autorités maliennes et de permettre le processus de réconciliation entre nord et sud.

cf/prh/sba

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