A terme, la force G5-Sahel, formée des troupes du Niger, de la Mauritanie, du Tchad, du Mali et du Burkina Faso, doit comprendre 5.000 militaires.
Pour Maman Sidikou, l'ONU doit fournir un "apport à un niveau plus approprié" à la force G5-Sahel que l'actuel soutien logistique fourni par les Casques bleus déployés au Mali qui reste trop limité. Ceci passe "par des contributions obligatoires" des membres de l'ONU, a-t-il estimé.
En raison d'une opposition de longue date des Etats-Unis, son financement et ses moyens ne viennent que de contributions volontaires (pays fournissant les troupes ainsi que la France, l'Union européenne, l'Arabie saoudite...).