Ils sont pas moins de trois membres du personnel du Groupe Azalaï qui croupissent dans les geôles depuis plus d’une année, selon nos confidences. De source pénitentiaire, en effet, ils ont eu maille à partir avec le directoire de cette structure hôtelière sur la gestion des finances alors sue le PDG, semble-t-il, est intraitable quand il s’agit du plus petit kopeck. C’est pourquoi, les démarches et tentatives de leurs avocats pour leur décrocher une liberté conditionnelle demeurent encore vaines et continuent de se heurter à l’intransigeance de l’employeur ainsi qu’à sa volonté de leur faire admettre les faits pour lesquels ils sont détenus. Or la manifestation de la volonté dans le dossier est rendue difficile par l’absence de protagonistes de taille dont la plupart ont été licenciés pour dit-on une responsabilité dans les mêmes faits. Conséquence : ni les limiers n’arrivent à boucler les enquêtes, ni la justice ne résout à diligenter leur procès, ni le directoire du Groupe Azalaï ne consent à accorder la liberté aux employés devenus de ses prisonniers personnels par la force des choses.
La Rédaction