Lundi, des journalistes ont organisé une conférence de presse pour dénoncer les violences policières dont certains d’entre eux avaient été victimes samedi dernier 2 juin alors qu’ils couvraient une manifestation de l’opposition. Et alors qu’ils étaient rassemblés dans la Maison de la presse que les journalistes – près d’une centaine - ont à nouveau été pris à partie par des jeunes et ont été injuriés. Pour Makan Koné, directeur de publication d’un journal malien, à 2 mois des élections cela devient difficile de couvrir des marches de l’opposition sans y être associés. Il interpelle le gouvernement sur ces incidents.... suite de l'article sur RFI