Au Mali, la manifestation réprimée de samedi qui a fait au moins 25 blessés, selon un dernier bilan hospitalier, fait réagir la communauté internationale. Dimanche, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, s’était inquiété de « l’évolution de la situation » dans le pays, à deux mois de la présidentielle du 29 juillet. Ce lundi, les Etats-Unis, l’Union européenne et l’Organisation internationale de la Francophonie donnent de la voix.
Michaëlle Jean, la secrétaire générale de la Francophonie, s’est dite « préoccupée » par les récents évènements de Bamako. Elle appelle « toutes les parties prenantes à la plus grande retenue » et les invite à éviter toutes situations qui pourraient compromettre la tenue du scrutin.... suite de l'article sur RFI