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La présidentielle et le « cas de force majeur » : Une manière de triche pour faire réélire IBK
Publié le mercredi 27 juin 2018  |  Le Démocrate
Cérémonie
© aBamako.com par Momo
Cérémonie de lancement des travaux du projet PADUB
Bamako, le 15 décembre 2015 la L’AFP en partenariat avec la mairie de la commune V a lancé les travaux du projet PADUB a la mairie de Badalabougou.
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L’article 210 de la nouvelle loi électorale du Mali stipule qu’en cas de «force majeure », le ministre de l’Administration territoriale peut ordonner le vote avec la carte NINA en lieu et place de la carte d’électeur biométrique. Cela pour les élections présidentielles de 2018. Pour une même élection pourquoi autoriser légalement deux cartes (carte NINA et carte d’électeur biométrique) différentes?

Pour la simple et unique raison de pouvoir créer les conditions (semer le chaos/désordre ou profiter d’une situation chaotique/de désordre) d’usage des 900.000 cartes NINA dont le pouvoir se trouve en possession pour faire réélire le président Ibrahim Boubacar Keita. Si l’élection du candidat IBK avait été facilitée par les religieux (musulmans) en 2013, cette année il compte sur le soutien des francs-maçons pour remporter haut la main dès le premier tour du scrutin même s’il faut que le sang du peuple coule.

Tientigui
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