Depuis plusieurs jours, les deux parties discutent sous l’égide du médiateur burkinabè, à Ouagadougou. Le but est de régler la situation dans la ville de Kidal, toujours contrôlée par le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) et dans laquelle la France et les soldats ouest-africains de la Mission internationale de soutien au Mali (Misma) sont présents, mais toujours pas l’armée malienne. Ce qui pose évidemment un problème pour l’organisation de l’élection présidentielle prévue au mois de juillet. Les discussions sont intenses depuis plusieurs jours, mais n’aboutissent pas...... suite de l'article sur RFI