A la veille de l’ouverture de la campagne électorale au Mali, un sale français, Jean Louis le Touzet, recruté par les soins de Soumi, a publié un pamphlet sur IBK. Jeune Afrique avait déjà annoncé que l’opposition malienne prépare un brûlot contre IBK. Il est apparu et signé par ce blanc de service, qui voulait d’abord un entretien avec le locataire de Koulouba, qui le sachant en mission, a simplement décliné l’offre.
Dans ce torchon de mensonges, de dénigrement et de négation tout simplement, le mercenaire de la plume tente de comparer le Mali à l’Afghanistan. Quelle honte ? Quel parallélisme facile ? Le Mali ne sera pas ce pays là, il n’y a aucun enlisement des troupes françaises, qui ne sont jamais allées au sol, contrairement aux soldats américains.
Ce journaliste malhonnête va jusqu’à dire qu’IBK n’a pas effectué des « études éblouissantes dont il s’enorgueillit. Son cursus universitaire ne tient pas ». Quelles grossièretés ? Quelle enquête biaisée ? Le journaliste français qui a rempli ses poches au Mali ne peut écrire que pour plaire à ses commanditaires, connus de tous.
Il y a deux ans, lors de sa visite d’État en France, la Sorbonne a fêté IBK. Le recteur de cette prestigieuse université à retracé le parcours, très brillant d’IBK. Il y a étudié et enseigné.
Honte à ce journaliste français menteur. Il n’est pas digne d’exercer dans le prestigieux journal « Libération ». Ce message consistant à nier son cursus universitaire est une vieille chanson, une rengaine, qui ne convainc personne. Depuis 25 ans, cela a été dit, mais il n’a pas empêché le parcours fulgurant de l’actuel chef de l’Etat. Des mensonges écrits par un blanc en quête de pitance.
Tant pis si Soumi a de l’argent à distribuer aux petits journalistes français. Pourquoi n’a t- il pas écrit en 2013 ou 2015 ? Le dessein inavoué est bien connu: tenter de déstabiliser IBK. Peine perdue parce que celui-ci est bien connu par son peuple, ses vrais démocrates, ses vrais combattants. Les écrits d’un petit journaliste n’y changeront rien.
Le principal commanditaire, Soumaila Cissé ne se gêne même de témoigner dans cette feuille de choux en essayant de charger son adversaire IBK, en le présentant comme un « paresseux ».
Quel ridicule ? Toute chose qui prouve l’implication de Soumi dans ce torchon, qui n’a aucun impact sur l’électorat. Peine perdue encore pour Soumi, sachant sa défaite inéluctable. Lui et les siens ont passé tout le temps à diffamer, à mentir, voire insulter IBK et sa famille sur les réseaux sociaux et dans une certaine presse aux ordres.
Aujourd’hui, ils se rendent compte qu’ils ne sont pas présents dans le Mali profond et à ce rythme, il leur est difficile, voire impossible de gagner la présidentielle. C’est donc la panique généralisée dans les rangs de Soumi et alliés.
La seule chose qui leur reste, c’est de concocter un plan de déstabilisation. Celui-ci ne marchera pas comme les précédents. Malheureusement pour ce groupe, il y’a en face un autre qui oeuvre pour la stabilité du pays, pour sortir celui-ci du trou.
Le Mali avancera avec IBK et non avec ceux qui sourient et applaudissent à chaque attaque. Ils essaient d’en tirer un profit politique. Le peuple n’est pas dupe et a bien compris.
Soumi ne passera pas même au nord où lui et ses supporters jouent la carte régionaliste et ethnique.