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Mali : l’armée lorgne Kidal mais veut laisser "une chance au dialogue"
Publié le vendredi 7 juin 2013  |  Jeune Afrique


© AFP par DR
Crise au nord du mali : un véhicule explose près d’un camp français à Kidal
Jeudi 21 février 2013. A Kidal, à 1.500 km au nord-est de Bamako. Un "véhicule est arrivé en filant vers le sud-ouest" de la ville et "a explosé à environ 500 mètres du camp occupé par les Français et les Tchadiens


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L’armée malienne a renforcé ses positions à Anefis, petite ville du Nord malien reprise mercredi aux rebelles touaregs du MNLA et située à une centaine de kilomètres au sud de leur bastion de Kidal. Malgré cette pression militaire accrue, le dialogue entre les deux parties, qui doit s’engager vendredi 7 juin à Ouagadougou, n’est pas rompu.
En reprenant mercredi la localité d’Anefis, l’armée malienne a grandement accentué la pression sur les rebelles touaregs du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA). Elle n’est désormais plus qu’à une centaine de kilomètres de leur bastion de Kidal, dernière grande ville du Mali qui échappe encore au contrôle de Bamako.
Malgré cette accélération de l’agenda militaire, les autorités maliennes et la rébellion se sont toutefois déclarées prêtes au dialogue, qui doit être lancé vendredi à Ouagadougou sous les auspices du Burkina Faso.
« On est en train de renforcer et consolider nos positions à Anefis en attendant des conditions favorables à la poursuite de l’opération » vers la ville de Kidal, a indiqué le porte-parole de l’armée malienne, le lieutenant-colonel Souleymane Maïga. « Depuis hier (mercredi), tout le secteur d’Anefis est sous le contrôle total de l’armée », a confirmé une source militaire régionale, ajoutant : « les soldats maliens entrés à Anefis n’ont pas quitté la zone pour Kidal ».
Appui français

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