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Karim Keita: La bête noire à abattre
Publié le jeudi 16 aout 2018  |  Le 22 Septembre
Contrôle
© aBamako.com par Androuicha
Contrôle démocratique du secteur de la sécurité
Bamako, le 23 juin 2015 à l`hôtel Salam. Sur initiative de l`Institut National Démocratique (NDI), les parlementaires venus du Burkina-Faso et du Niger ont échangé avec leurs homologues maliens sur la bonne gouvernance du secteur de la sécurité. (Photo honorable Karim Keita, pdt de la commission defense à l`AN)
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Depuis le début de la campagne électorale, l’équipe de campagne de Soumaila Cissé, tombée plus bas que terre, ne cesse de multiplier les mensonges et dénigrements. Le canal, le plus prisé, demeure les réseaux sociaux pour abuser des uns et des autres.

Faute de ne pouvoir atteindre IBK, à bras raccourcis, les supporters de Soumi tombent sur sa progéniture, le très béni Karim Keita. Ils chargent cet honorable député parce que simplement il soutient son père. Il se bat pour mobiliser les électeurs en sa faveur. Sa détermination et son engagement envers son père-président lui valent toutes sortes de méchancetés.

Son crime de lèse-majesté, c’est d’être le fils d’Ibrahim Boubacar Keita.
Sans preuve aucune, on l’accuse de tous les noms d’oiseaux, on lui donne des pouvoirs exorbitants, on le met au centre du pouvoir, on fait croire à l’opinion que celui qui gère le pays, à la place de son père. Que de mensonges! C’est une stratégie machiavélique, mise en place par Soumi et supporters pour tenter de discréditer le pouvoir, de ternir l’image du pays, de faire croire que les dirigeants actuels ne sont pas sérieux. Que nenni!

Les mensonges, les dénigrements, la méchanceté ont été poussés très loin jusqu’à accuser Karim dans l’affaire de la disparition d’un modeste journaliste, qui ne s’est jamais intéressé à la politique, à fortiori dire du mal de Karim ou de son père président. Nous défions quiconque de nous sortir un seul article de notre confrère, dans lequel il charge IBK et sa famille.

On a attendu la campagne présidentielle pour dégainer des contrevérités sur Karim. Heureusement, comme le dit l’adage « le chien aboie, la caravane passe ».

La dernière en date de ces contrevérités porte sur une prétendue conversation qu’il aurait eue avec le ministre de la Sécurité et de la Protection civile. Une grossièreté démentie, à la fois, par Karim Keita et le Général Salif Traoré lui-même. On imagine des scénarios, on les écrit et l’on utilise les réseaux sociaux pour les faire circuler. Seuls les naïfs y croient.

Certains par pure méchanceté ou par jalousie font feu de tout bois pour essayer de salir la belle image dont il jouit auprès des populations. Et, par la même occasion, de causer un énorme tort au pays parce qu’ils ne sont pas aux affaires. L’opinion nationale et étrangère a suffisamment compris aujourd’hui ce jeu favori de l’opposition, en perte de vitesse. A suivre.

Elhadj Chahana Takiou
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