De par sa manière de faire la politique qui est celle de la force des idées, le candidat de l’Adéma/PASJ à la présidentielle de juillet 2013, réalise au fil des jours l’union sacrée autour de sa personne.
L’adhésion à la candidature de Dramane Salif Dembélé la plus spectaculaire, est incontestablement celle de la jeunesse à la fois du parti mais aussi et surtout d’autres formations politiques que nous nous gardons de citer ici. Or remarque à ce jour que toutes les forces hostiles se sont ralliées à sa candidature faisant de « Dra » le candidat de toute la jeunesse et des femmes.
Par la force de ses idées de bâtir un Mali différent de celui d’avant mars 2012, Dramane Salif Dembélé, a su émerveiller la société civile qui a jugé bon et raisonnable de soutenir celui qui est considéré comme le candidat de l’avenir. Son discours sur l’emploi des jeunes, la justice sociale, l’école, l’administration publique…. en dit long sur l’ambition du candidat à la présidentielle du PASJ, à bâtir un Mali nouveau. Un Mali où il fera bon vivre, où les droits de l’Homme seront respectés et l’intégrité territoriale sauvegardée.
Outre les jeunes, la société civile, Dra qui se veut progressiste a su vite établir un pont entre lui et les femmes qui constituent la couche majoritaire au plan démographique. Elles sont à ce jour totalement acquises à sa cause et ne font pas mystère de leur détermination à se battre pour lui jusqu’à la victoire finale.
Quoi qu’on dise, le candidat Dramane Salif Dembélé, durant ses 20 ans de militantisme dans les rangs de l’Adéma n’a jamais rampé à contre courant des décisions de sa formation politique d’origine. Il a œuvré à son ancrage et à son rayonnement sur l’ensemble du territoire national. A ce titre, ce n’est point étonnant qu’il bénéficie de la confiance des uns et des autres. Ingénieur géologue de son état, à 46 ans, Dramane Salif Dembélé dit compter sur l’accompagnement des aînés pour pouvoir effectuer sa part de chemin. Investi de la confiance du parti, l’ex-leader estudiantin saura relever le défi car disposant de recettes pour tirer le Mali du gouffre. Pour ce faire, il n’attend que le peuple pour le mettre en mission en le portant à la tête de la magistrature suprême.
