Organisation des présidentielles 2013 : Clash entre Moussa SINKO et la Junte #aBamako

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Organisation des présidentielles 2013 : Clash entre Moussa SINKO et la Junte

Publié le mercredi 12 juin 2013 | Le Guido

© aBamako.com par as
Réunion du ministre de l`Administration Territoriale, de la Décentralisation et de l`Aménagement du Territoire, Col Moussa Sinko Coulibaly avec les partis politiques et de la société civile
Jeudi 12 Juillet 2012. Bamako. Gouvernorat de Bamako. Le ministre de l`Administration Territoriale et des Collectivités Locales, Col Moussa Sinko Coulibaly.

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- 09/6/2013

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Présidentielles 2013

Le président du Front pour le Refus, Bakary Mariko, porte parole de l’ex CNRDRE, était devant un parterre des journalistes, le samedi 8 juin 2013, pour faire l’analyse sur la situation récente du Mali.

Selon le conférencier, notre pays le Mali est tombé tellement bas qu’on a envie de refuser d’être malien. « Pendant 22 ans, personne n’a rien dit et fait. Kidal est un problème géostratégique et politique, et cette situation exige que tous les maliens se réunissent pour chasser le MNLA hors du Mali ». Répondant aux questions des journalistes, Bakary Mariko, président du FPR a dit que le ministre de l’administration territoriale, Moussa Sinko Coulibaly, est entrain de mentir au peuple en affirmant que tout est prêt pour aller aux élections, mais rien n’est prêt pour l’élection de juillet 2013. Pour lui, le ministre Sinko veut organiser à la hâte les élections de juillet 2013 pour les beaux yeux de la communauté internationale. Comment peut-on faire des élections dans ces conditions critiques et anormales? Pour lui, le temps ne mentira jamais.

Parlant d’asile du capitaine Haya, le conférencier a été clair. Il ne croit pas qu’Amadou Haya veuille quitter le Mali.

S’agissant de la négociation avec le MNLA, Bakary Mariko s’insurge : « Nous n’accepterons pas un accord avec le MNLA en vue d’organiser des élections, nous ne voulons pas que Kidal soit une exception et nous n’accepterons pas qu’on nargue le peuple malien ».
Selon lui, ce qu’il faut c’est laisser l’armée malienne rentrer à Kidal sans aucune condition et désarmer le MNLA.

L-C

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