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L’ANPE fait le point d’exécution du Plan de travail annuel 2018 à mi-parcours
Publié le lundi 24 septembre 2018  |  Infosept
Cérémonie
© aBamako.com par A S
Cérémonie de signature de contrat à l`ANPE
Une Cérémonie de signature de contrat a eu lieu à l`ANPE le 26 Septembre 2017
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En vue d’accomplir avec efficacité et efficience son devoir et de donner plus de visibilité aux acteurs de l’ANPE, le Département communication de la structure s’est dotée d’un plan de communication. Cela, avec comme objectif de répondre à ses missions auprès des usagers de service public d’emploi.

Dans le cadre de la mise en œuvre de ce plan de communication, l’ANPE utilise plusieurs canaux avec la presse. D’où la conférence de presse de ce mercredi 19 septembre 2018 pour faire le point de la mise du Plan de travail annuel 2018. Animée par Ibrahim Ag Nock, DG de l’ANPE, la conférence a été ouverte par le représentant du PCA de la structure. Pour le premier responsable de l’ANPE, le PTA à mi-parcours a permis la formation-insertion des groupements de femmes et des personnes en situation d’handicap dans les domaines variés.

Il s’agit du maraichage, de la saponification et de l’agro-alimentaire. Aussi, le dispositif de formation continue comprenant le Centre de perfectionnement et de reconversion et l’atelier école de Kayes permet la consolidation des emplois au moyen de la formation. Egalement, au cours du premier semestre 2018, l’ANPE a enregistré 3180 demandes d’emploi, dont 743 pour les hommes et 2229 demandes pour hommes. Au cours de la même période, l’ANPE a effectué 728 placements dont 196 femmes.

Quant à la représentativité de la structure sur l’ensemble, il a précisé que l’ANPE est présente dans les régions nouvellement créées, notamment à Taoudéni et Ménaka.
Par rapport au suivi des projets, il a invité les porteurs de projet à acquitter les créances afin de permettre à d’autres demandeurs d’accéder au financement. «Sur plus d’une décennie, nous avons des arriérés de plus deux milliards de FCFA. Nous devons mettre en place un mécanisme de recouvrement des créances», dit-il.

Parlant des difficultés, le DG a signifié, entre autres, la faible mobilisation des ressources financières, l’insécurité, l’insuffisance des ressources humaines et des locaux.
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