Des jeunes qui ont organisé une caravane, à Bamako, ont été gazés et tabassés vendredi dernier par la police. Soumaila Cissé, chef de file de l’opposition, était à l’étranger, plus précisément à Ouagadougou. L’on se demande encore comment, après un programme aussi périlleux que celui d’une caravane, le 21 septembre et un meeting, le 22 septembre, le principal concerné, à savoir le candidat malheureux, puisse laisser les jeunes à la merci de la police. On nous a appris, aussi, que d’autres cadres de la Plateforme se trouvaient à l’étranger, au moment des faits. Etrange, non ?
B.D.