Le Conseil de sécurité a donné son feu vert au déploiement de la Minusma au Mali. C’était la dernière étape avant l’arrivée des premiers casques bleus le 1er juillet. Une mission à haut risque pour l’ONU. La France, elle, conserve environ 3000 hommes sur place, même si son rôle est clairement défini.
Avec notre correspondant à New York, Karim Lebhour
Lorsqu’ils avaient approuvé la création de la Minusma, les diplomates craignaient une flambée de violence et une possible campagne d’attentats au Mali. Le pire n’est pas arrivé. Au contraire, l’accord signé entre Bamako et les rebelles touaregs est un facteur d’apaisement. Plus rien ne s’oppose au déploiement des casques bleus.... suite de l'article sur RFI