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Mali: Plus de 28.500 emplois créés au premier semestre 2018
Publié le jeudi 20 decembre 2018  |  afrique-sur7.fr
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© aBamako.com par Momo
Rencontre d’échange et de validation du programme CEFORPA
Bamako,le 17 Aout 2017 une Rencontre d’échange et de validation du programme CEFORPA a eu lieu l`ANPE
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Plus de 28.500 emplois ont été créés dans l’ensemble des secteurs public et privé du Mali, durant le premier semestre 2018, selon des données intégrées à la loi malienne de finances 2019.

L’emploi au Mali reste un secteur plein d’opportunités


Dans ces 28.511 emplois, le secteur privé emploie 18.339 personnes, dont 14.868 hommes et 3.471 femmes, parmi lesquels 11.468, ont été engagés pour des contrats à durée déterminée (CDD) et 6.871 pour des contrats à durée indéterminée (CDI).

Le secteur public emploi quant à lui 10.172 personnes, 5.238 hommes, 4.934 femmes.

En 2017, 63.176 emplois avaient été créés au Mali dont 37.031 le secteur privé et 26.145 dans le public.

La région de Bamako est la première des 10 que compte le Mali a employer le plus grand nombre de personnes, suivie dans l’ordre de Kayes (Ouest), Sikasso (Sud), Segou, Mopti (Centre). La région de Kidal vient en dernière position.

Avec une population estimée à 18,5 millions d’habitants, dont 51% et femmes et 49% d’hommes selon les données démographiques, le Mali est l’un des pays africains qui a paradoxalement un taux de croissance assez faible.

Troisième producteur d’or en Afrique derrière le Ghana et l’Afrique du Sud, le Mali a aussi du pétrole et un secteur agricole dynamique.

En 2012, la pauvreté dans les villes et régions du Centre et du Nord a été accentuée par le coup d’Etat de 2012, la déstabilisation de la Libye. Le Sahel est donc devenu un vaste territoire confronté, au terrorisme, à la criminalité transnationale organisée et aux trafics en tout genre, notamment celui de la drogue, des armes, des marchandises illicites, de migrants, de blanchiment d’argent.

Pour faire face à cette vague d’insécurité quasi-permanente, le gouvernement malien a instauré l’état d’urgence en 2017. Une mesure de réquisition et de déploiement de l’armée dans les endroits stratégique du pas qui a été prorogé jusqu’au 31 octobre 2019, après que celui en vigueur a expiré le 31 octobre 2018.


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