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Etat-civil : Les actes comme preuves juridiques de l’existence
Publié le vendredi 21 decembre 2018  |  L’Indicateur Renouveau
Rencontre
© aBamako.com par A S
Rencontre entre le ministre Mohamed Ag Erlaf et les leaders des organisations de la société civile
Bamako, le 30 octobre 2018 cette rencontre s’est déroulée, dans la salle de conférence du ministère de l’Administration territoriale et de la Décentralisation.
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Le ministère de l’Administration territoriale et de la Décentralisation (MATD), en partenariat avec la direction nationale de l’état-civil, a organisé la 1re édition de la Journée africaine de l’état-civil (JAEC), jeudi au Palais de la Culture en présence des ONG, des associations féminines et autres.

Hier, le MATD a mobilisé plusieurs jeunes et femmes maliens autour de la célébration de la Journée africaine de l’état-civil. L’occasion a été mise à profit pour sensibiliser les parents et les jeunes sur l’importance de l’acte de naissance et les valeurs qu’ils doivent incarner.

Le thème choisi pour cette année est “promouvoir un système novateur universel de l’enregistrement à l’état-civil et des statistiques vitales pour une bonne gouvernance et une vie meilleure” et le sous-thème “état-civil et protection du citoyen”.

Le ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, Mohamed Ag Erlaf, a invité la jeunesse et l’ensemble des Maliens à participer activement à la construction de l’état-civil.

“Les actes d’état-civil relatifs à chaque événement permettent d’apporter la preuve juridique de l’existence et de l’âge, d’établir les droits fondés sur l’âge”, a-t-il expliqué. Le ministre a assuré que le gouvernement prendra toutes les mesures nécessaires pour faire face aux problèmes du pays afin de protéger les citoyens.

Le représentant du maire de la Commune V et la représentante du Parlement des enfants, Fanta Sidibé ont appelé les parents et l’ensemble des Maliens à la cohésion sociale et à faire tout le possible afin de chercher l’acte de naissance aux enfants, car dira le parlement des enfants, “un enfant sans acte de naissance, est un enfant exclu de la société, un enfant qui n’existe pas”, conclura-t-elle.

Adama Diabaté
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