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Digital Day chez Orange Money : Le Mali 2e après le Maroc en termes de transaction monétaire numérique
Publié le vendredi 8 fevrier 2019  |  Le Pays
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Mercredi 6 février 2019, Orange Mali a organisé, dans le cadre de la « Transformation digitale », une cérémonie entrant dans le cadre de l’initiative « Digital Day » (Journée du digital). Cette journée a pour objectif d’éclaircir les multiples opportunités offertes par la digitalisation.

Le programme de digitalisation, selon le directeur d’Orange, permettra d’améliorer l’expérience clients (interne et externe), d’harmoniser et d’optimiser les processus opérationnels tout en respectant les normes de sécurité des accès et des données. À ce titre, cette journée a été une occasion d’enrichir les discussions et d’approfondir les échanges sur les impacts de la transformation digitale dans nos sociétés en général et dans les entreprises orange Mali en particulier.

Aux dires du Directeur d’Orange Mali, Brelotte Ba, le Mali se positionne 2e après le Maroc en termes d’utilisation de l’application Orange Money. À l’en croire, cela constitue une preuve tangible que les Maliens sont accros au digital en termes de transaction monétaire.

Rencontre sous régionale des jeunes à Baguineda

L’économie sociale et solidaire discutée

La commune de Baguineda a servi de cadre du 6 au 7 février dernier à une rencontre sous régionale du mouvement Jeunesse et Pouvoir d’agir. Cette rencontre a regroupé des jeunes du Mali et de la Mauritanie. Elle a été l’occasion de discuter sur l’économie sociale et solidaire. À cette occasion, Samba Sow, président des jeunes de Gorgole, Mauritanie, s’est étendu sur la concertation communale entre les jeunes. Chose qui prépare le conseil communal des jeunes et leur intéressement à la participation au PDSEC dans leur commune respective.

Lutte contre l’insécurité

La ville de Tombouctou à pied d’œuvre

Dans le but de lutter contre les conflits dans la ville de Tombouctou, un panel de 5 intervenants a été organisé au cours de cette semaine. Le but était d’éclairer le public sur les mécanismes traditionnels et modernes de la résolution des conflits dans cette ville mystérieuse. À l’issue des débats, il a été revenu de comprendre qu’une centaine de conflits ont pu être répertoriée dans cette ville par la MINUSMA, affirme AliouIssaka, chef de section adjoint des affaires civiles à Tombouctou. « Notre approche est de former la jeunesse dans les cercles de Tombouctou pour que celles-ci soient des actrices de résolution de conflits. Chaque fois qu’il y a des cas de conflits signalés dans un endroit, nous rentrons en contact avec nos jeunes en place », dixit Fatalmoudou Alassane assistant de programme sur un projet de sensibilisation à Search for commondGround. De son côté, IsmailaNiaré, assistant-chef de projet sécurité alimentaire et moyen d’existence à Action contre la Faim, soutient que le partenariat entre « l’état et les organisations humanitaires est très important pour la résolution des conflits. Cette dynamique est en marche également. »Quant à Fodé Barry, coordinateur régional de thinkpeace Tombouctou, « il faut que la jeunesse de Rharous se libéré des griffes des politiciens si elle veut être soudée, si elle veut poser des actes et s’engager dans la résolution des conflits. »

Révision constitutionnelle

Le comité explique ses missions

Le comité d’experts pour la révision constitutionnelle a statué sur la question ce mercredi. À cette occasion, les onze membres de ce comité ont dévoilé leur approche méthodologique. Ce comité est chargé de réfléchir à la relecture de la constitution de 1992. Au micro de la Mikado FM, Pr Makan Moussa Sissoko, membre dudit comité, s’est exprimé sur leurs missions. À ses dires, le comité doit son mandat des plus hautes autorités qui leur charge de sensibiliser et d’informer le public afin d’éviter que les rumeurs prennent le dessus sur la réalité. À l’en croire, dans cette énième tentative de révision, le comité tiendra compte de l’expérience des tentatives précédentes de révision, tenir compte des points qui ont fait l’accord entre les esprits, de l’accord pour la paix et la réconciliation et de toutes les possibilités qu’il peut y avoir pour améliorer le texte existant.

Selon Sissoko, le comité reste ouvert pour toute proposition visant l’atteinte des objectifs. À l’en croire, le comité terminera son travail technique en avril et laissera place au processus politique où le Premier ministre remettra le projet du comité au président de la République et qui à son tour saisira le gouvernement du projet de loi. C’est après l’adoption du projet qu’il ira à l’Assemblée nationale qui sera chargée de voter ledit projet à la majorité des 2/3. À ses dires, ce processus prend fin par la convocation du collège électoral.

Gao : Rénovation du musée Sahel

La ville de Gao a abrité au cours de cette semaine les cérémonies de rénovation du musée du Sahel installé dans de nouveaux locaux à Aljanabandia. Cet espace construit par le gouvernement malien et ses partenaires parmi lesquels UNESCO et la MINUSMA permettra de donner plus de poids aux cultures sahéliennes et sera un gage de paix.

Selon Abdoulaye BoncanaMaiga, directeur de ce musée du sahel, cet espace a résisté à plusieurs obstacles dans le temps et constituera la marque d’un retour de la paix dans cette ville. Cette rénovation a été largement appréciée par tous les représentants présents à l’occasion.

La Rédaction
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