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Spéculation foncière : L’Etat, principale victime
Publié le mardi 12 fevrier 2019  |  Le 26 Mars
Conseil
© aBamako.com par A S
Conseil de cabinet à la primature
Bamako, le 12 septembre 2018 le Premier ministre Soumeylou Boubèye Maïga, a eu une première rencontre avec les membres de son gouvernement. Photo: Mohamed Moustapha Sidibé
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Les titres fonciers fictifs à travers Bamako se comptent par milliers, si l’on s’en tient aux principes inscrits dans le code domanial qui stipule, en substance dans certaines de ses dispositions, que « la modification » ou la création des titres fonciers sont autorisées par arrêté interministériel. Malgré la clarté et les précisions données par ce texte, nombreux sont aujourd’hui, les titres fonciers créés ou modifiés par simple décret ministériel ou simple décision.

Secteur de la micro finance au Mali :
ça file du mauvais coton.

Absence d’une vision claire et partagée sur l’évolution du secteur, inexistence d’un cadre de concertation cohérent des acteurs, et une piètre fonctionnalité des dispositifs de surveillance, telles sont entre autres, les conséquences d’une pagaille installée dans le secteur de la micro finance au Mali.

En effet, le secteur de la micro finance dans notre pays, est aujourd’hui confronté à un certain nombre de carences, et souffre d’une pagaille qui s’y est installée depuis un certain temps.

Conséquences de cette situation, certains experts dans le domaine craignent même l’effondrement pur et simple de ce secteur au Mali.

Justice et Justiciables
Les damnés

N’ayant accès au prétoire qu’après l’examen des dossiers de ceux qui bénéficient d’une assistance judiciaire, les autres, les laissés-pour-compte sont traînés, menottes aux bras, à d’interminables audiences, sans être jugés.

Au Mali, les prévenus qui ne sollicitent pas les services d’un conseil juridique, faute de moyens, subissent les pires formes d’injustice, de la part de la Justice.

D’abord, à la différence de ceux qui constituent des avocats, eux, ne jouissent pas du bénéfice de plusieurs attributs liés à l’assistance judiciaire.

Ensuite, l’examen de leurs dossiers peut être ajourné des mois durant, aussi longtemps qu’il y a des affaires confiées à des avocats.

En effet, malgré le fait que le rôle de chaque audience soit dressé par ordre, la priorité est accordée aux dossiers du barreau, c’est-à-dire ceux dans lesquels, les parties ont constitué des avocats.

L’ordre du rôle n’est respecté qu’après examen des dossiers du barreau qui, du reste, peut s’étendre sur toute une journée. Ce faisant, certains prévenus peuvent se présenter à plusieurs audiences sans avoir la « chance » de comparaître à la barre.

Leur pêché est le fait de n’avoir pas la possibilité de s’offrir les services d’un avocat.

Et pourtant, la loi prévoit la constitution d’avocats commis d’office pour les accusés n’ayant pas les moyens. Malheureusement, cela ne concerne que seulement les accusés cités devant la Cour d’Assises.

La Rédaction
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