L’année scolaire est plus que jamais menacée. Nous nous dirigeons peu à peu vers une année blanche. Les syndicats de l’éducation qui exigent une amélioration de leurs conditions de vie et de travail, ne veulent pas céder facilement. Quant aux responsables gouvernementaux, ils affirment que le maximum a été fait pour les syndicats de l’éducation. Dans tout cela, qui est le vrai fautif ?
Cette perturbation dans le secondaire et le fondamental risquerait de prendre une autre tournure dans notre pays. Ce mouvement d’humeur a été enclenché avec 10 points de négociation sur la table du gouvernement. A ce stade, plus de la moitié des revendications ont été acquis par les syndicats de l’éducation. Mais, ils restent trois points de blocage d’ordres financier et administratif ; à savoir les primes de logement et de documentation ainsi que l’accès des enseignants aux services centraux, un point accordé à l’UNTM.