Au Mali, pendant la crise en 2013 et l’occupation jihadiste, 4 243 manuscrits ont été détruits dans le nord du pays. Mais la majorité a été sauvée et transportée de Tombouctou à Bamako. Si dans la capitale, les 27 800 ouvrages du centre public sont plutôt bien conservés, ceux restés à Tombouctou, dans les bibliothèques privées, ne reçoivent pas le même traitement.