C’est une année charnière pour Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), celle où se jouera l’héritage qu’il laissera à son peuple à l’issue de son ultime mandat en 2023, celle aussi où se décidera une partie de l’avenir du Mali.
Pour la première fois depuis longtemps, un fragile alignement des planètes semble se mettre en place en ce début de 2019. Certes, le front social demeure agité, mais la crise postélectorale est en grande partie digérée, et une sorte de consensus se dessine entre les acteurs politiques pour enfin appliquer les dispositions clés de l’accord de paix signé il y a près de quatre ans à Alger.... suite de l'article sur Jeune Afrique