Dans le bastion de la rébellion, les symboles de l’État sont désormais bien présents. Mais l’administration ne fonctionne toujours pas, et les groupes armés font la loi.
Le dernier rapport du secrétaire général de l’ONU pour l’année 2018 sur le Mali révèle que Kidal, bastion de la rébellion dans le nord du pays, est l’une des régions qui ont enregistré le plus faible nombre d’attaques de groupes armés durant le dernier trimestre de 2018, soit un total de 7, contre 24 dans la région de Mopti, 13 à Tombouctou et 12 à Gao.... suite de l'article sur Jeune Afrique