Franchir les portes de Radio libre, c’est entrer dans un temple du reggae. Et venir partager l’amour des Maliens pour la musique, loin du rigorisme de certains.
En 2005, le chanteur ivoirien Tiken Jah Fakoly a ouvert cet espace de musique live dans le quartier populaire de Niamakoro, à Bamako. Son image est fortement associée au club, dont les murs sont tapissés de portraits de « Tiken », de son compatriote Ismaël Isaac et du chanteur sud-africain Lucky Dube, ainsi que de célèbres rastafaris ou leaders révolutionnaires tels que Thomas Sankara et Haïlé Sélassié. Les couleurs panafricaines et maliennes (le rouge, le jaune et le vert) sont... suite de l'article sur Jeune Afrique