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Ecole : Les enseignants persistent et signent…
Publié le jeudi 18 avril 2019  |  L’aube
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© aBamako.com par FS
Le Chef de quartier de Daoudabougou visite les écoles publiques de Daoudabougou
Dans le cadre de la rentrée scolaire 2018-2019, le chef de quartier de Daoudabougou à la tête d`une forte délégation s`est rendue dans les école publique du quartier.
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Le gouvernement a décidé de payer les 3 mois d’arriérés de salaire aux enseignants signataires du 15 octobre 2016, en grève depuis plus de trois mois. Une nouvelle annoncée par le chef de l’État Ibrahim Boubacar Keïta, lors de sa rencontre avec les familles fondatrices de Bamako, qui a eu lieu le week-end dernier. Cette rencontre avait pour but de « trouver une solution à la crise scolaire ». Toutefois les enseignants restent catégoriques : « le paiement des arriérés permet de revenir à la table des négociations, mais le retour à l’école est conditionné à la satisfaction complète de leurs doléances ».

Centre du Mali :

De jeunes peulhs et dogons unis contre la violence

Face à la situation de la crise dans le Centre du Mali, les responsables d’associations de jeunes Peulhs et Dogons ont rencontré, le samedi dernier la presse à Bamako, pour prôner la réconciliation entre les deux communautés.

Le désarmement des groupes de milices du Centre du Mali est une priorité pour les représentants des jeunesses dogons et peulhs. « Il faudrait désarmer tout le monde, tous les porteurs d’armes, à part les militaires », s’exclame Boukari Guindo, de l’association Ginna Dogon. Assis à côté de lui, Michael Barry, membre de la jeunesse de l’association peulhe Tabital Pulaaku, renchérit : « Sur le terrain, il y a trop d’armes, vous le savez. Il faut que l’État parvienne à désarmer la zone ».

Des représentants des deux jeunesses envisagent de se rendre sur le terrain, dans le Centre, dans le cadre de cette réconciliation. « On compte bien organiser des fora communautaires, mettre les autorités coutumières et traditionnelles en place pour qu’on puisse dialoguer sur la question des armes », affirme Michael Barry.
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