En rencontrant le Ministre en charge des réformes institutionnelles et des relations avec la Société Civile, les anciens du Conseil national de la jeunesse du Mali (CNJ-Mali) ont témoigné leur soutien et accompagnement à Amadou Thiam pour la réussite de sa mission.
Les anciens du conseil national de la jeunesse du Mali ont exprimé leurs soutiens et accompagnement au Ministre en charge des réformes institutionnelles et des relations avec la société civile dans sa mission de conduire le pays vers des réformes institutionnelles. C’était dans la salle de conférence du ministère, hier jeudi 23 mai, le Ministre Amadou Thiam a rencontré une importante délégation des anciens du CNJ venue témoigner leur disponibilité à l’accompagner dans la réussite de sa mission.
Saluant cette marque de soutiens, le ministre Thiam est revenu sur les missions de son département et son souhait d’organiser la société civile pour qu’elle soit plus utile à la démocratie.
«Nous avons décidé de mettre en place dans le ministère un cadre consultatif des représentants de toutes les faitières de la société civile et de créer un fonds d’appui pour soutenir ses initiatives allant dans le sens de la consolidation de la démocratie», a souligné le Ministre Amadou Thiam.
La question de la révision constitutionnelle dépasse un simple changement de texte, estime le porte-parole des anciens du CNJ. Au regard de l’importance de la mission confiée au Ministre Thiam, le porte-parole des anciens du CNJ a réitéré leur disponibilité à accompagner le Ministre.
« Nous voulons cette approche constructive et dans la durée », note le Ministre. « Nous allons rencontrer, prochainement, le CNJ et les autres organisations de la société civile pour prendre en compte leurs propositions sur la réforme constitutionnelle pouvant être apportées dans les instances de prise de décisions », a estimé le Ministre Thiam.
En outre, il a salué le rôle combien important joué par le CNJ dans toutes les reformes au Mali, avant de les exhorter à sensibiliser les populations sur la nécessité d’aller à ces réformes.