A la demande express de la France, le conseil de sécurité des Nations Unies vient de publier la liste de liste noire de 5 personnalités maliens faisant désormais l’objet de sanction pour des supposés agissement contre la paix. Parmi les personnes ciblées par la France, nous avons l’honorable Mohamed Ould Matali, député élu à Bourem.
Pour la population, ce comportement de trop de la France est un affront au peuple malien qui ne demande qu’à vivre en paix. Au delà de la personne de l’honorable Matali, cette sanction démontre un vaste complot fomenté par la France et exécuté par le conseil de sécurité des nations unies contre le Mali. Depuis la signature de l’accord de paix, tous ceux qui oeuvrent désormais pour l’unité du Mali sont devenus des cibles potentiels des néocolonialistes cachés derrière le nations unies.
Un groupe d'individus aux ordres de la France souhaitent compromettre le travaille que l'honorable Mohamed Ould Matali a commencé depuis la signature de l'accord pour la paix et la réconciliation au Mali. Ces sanctions visent à saboter son travail patriotique en faveur de l’unité du Mali. On se rappelle des combats de l'honorable pour la sauvegarde, l'unité et la non partition du pays. Il est temps que l'opinion nationale et internationale décortiquent les contradictions des supposés amis du Mali. Leur message n’est pas pour le retour de la paix, mais la partition du Mali.
Pour maintenir notre pays dans cette situation, il faut éliminer tous les partisans de l’unité. La sanction de l'honorable Ould Matali arrange certaines personnes qui sont entrain de travailler dans l'ombre avec la France en vue de la partition du Mali. Les populations du Nord font bloc derrière l’honorable Matali, sont également à pied d'œuvre pour faire échec à ce projet satanique des gaulois.
Après la grande sortie des jeunes du nord à Bamako, tous les élus et responsables de toutes les communautés sont entrain de se mobiliser pour dire leur désapprobation de la méthode française. Pour eux, l'honorable Ould Matali mérite un prix Nobel de la paix et non une sanction pour une paix qui est devenue aujourd'hui son seul combat. La France, avant de proposer une liste de personnalités à un régime de sanction aurait dû par respect pour la souveraineté de notre pays, informée les hautes autorités du Mali.
A suivre !