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Réformes politiques et institutionnelles : Les responsables du CNID mènent la réflexion
Publié le mardi 20 aout 2019  |  L’Essor
Présentation
© aBamako.com par A S
Présentation de voeux de CNID à la presse
Bamako, le 25 fevrier 2017 le CNID a présenté ses voeux à la presse à la maison de la presse
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L’ouverture des travaux était présidée par le président du CNID, Me Mountaga Tall, en présence des cadres du parti du Soleil levant et des délégués venus des différentes régions du pays.

Le Comité directeur du Congrès national d’initiative démocratique (CNID-Faso Yiriwa ton) a organisé, le week-end dernier au siège du parti, un atelier de réflexion sur les réformes politiques et institutionnelles avec comme thèmes : «Conditions de participation du CNID (prérequis) au dialogue national» ; «Révision constitutionnelle» ; «Accord pour la paix et la réconciliation nationale» ; «Aspects sécuritaires et Défense» ; «Révision de la loi électorale» et «Gouvernance».

L’ouverture des travaux, qui a eu lieu samedi, était présidée par le président du CNID, Me Mountaga Tall, en présence des cadres du parti du Soleil levant et des délégués venus des différentes régions du pays.

Après l’exécution de l’hymne du CNID, le président du parti a rappelé que notre pays connait depuis de nombreuses années une crise multidimensionnelle dont la manifestation la plus aiguë, la plus douloureuse et la moins acceptable est la crise sécuritaire.

«Pas un seul jour sans une mort violente, sans assassinat quelque fois de masse, sans village brûlé, sans grenier incendié. Cela suffit, cela n’est pas le Mali», a martelé le leader politique. Selon Me Mountaga Tall, le Mali connaît aussi une crise politique post électorale.

Il rappellera ensuite qu’en raison de la grave crise qui perdurait, des assassinats quotidiens, de la menace qui planait sur l’école, l’opposition avait dit que le pays comptait plus que les résultats d’une élection, que par conséquent il fallait travailler à la décrispation, à la paix sociale et politique pour permettre aux citoyens de se sortir des difficultés quotidiennes.

Face aux nombreuses crises (gouvernance, sociale, politique), a souligné Me Mountaga Tall, l’opposition a proposé un dialogue qui a été finalement accepté par le pouvoir en place.

D’où la décision de tenir le Dialogue politique inclusif dont les facilitateurs et le comité d’organisation ont été désignés.
«Nous attendons donc, l’envoi des termes de référence, sur l’ensemble du déroulé, du contenu et des suites à donner au Dialogue national inclusif pour définir la position de notre parti», a précisé le président du CNID.
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