Abordant ce sujet qui est l’actualité numéro un car, un atelier vient d’être organisé par le gouvernement afin de valider ses termes de Références, le Cheick Mahmoud Dicko est sceptique en ce sens : « Nous ne le refusons pas. Mais nous voulons savoir si c’est la volonté du peuple ou celle du Prince ? Si celle du Prince, nous disons non car la légitimité est avec le peuple. Déjà, on nous parle de Révision constitutionnelle, de découpage administratif, mais je préfère l’appellation réorganisation territoriale car, on découpe ce qu’on a entre tes mains ! Pour moi, la seule bataille qui vaille, c’est qu’ensemble, nous nous battons pour récupérer notre territoire et ce ne sont pas les autres qui le feront à notre place. Point de rêver ! C’est par cette méthode que le Mali aura son salut. Dialoguer, n’est pas la solution. Il faut que le Président s’assume. Nous en sommes contre personne».