Après le lancement de sa campagne électorale à Mopti, Soumaïla Cissé, candidat de l’Union pour la République et la Démocratie (URD), ne finit pas de tenir de grandes promesses au peuple d’en bas qui vit dans un pays où les conditions de vie deviennent de plus en plus difficiles et dures. Des semences de grandes promesses qu’il propose de semer pour en récolter les fruits avec tous les maliens.
En effet, Soumi champion s’est employé à ravir la vedette auprès des paysans qui sont dans les zones de production cotonnière dans la 3è région du Mali. Pour la circonstance, il n’a pas hésité à miser plus gros pour proposer un prix très rémunérateur à ces cotonculteurs qui ont du mal à vivre de leurs productions. Au point que ces derniers se sont tournés vers l’exploitation de certaines spéculations notamment la culture de céréales sèches.
A Kignan, le candidat du parti de la poignée de main s’est flatté d’être un grand connaisseur et maîtrisard des difficultés auxquelles sont confrontés les paysans producteurs de coton. C’était sous les grandes ovations d’une foule de militants convaincus et confiants. Devant cette foule électorale, il a tenu le langage de promesses fleuve. Ce qui suppose qu’il détient la clé des solutions aux problèmes auxquels est confronté le peuple malien qui traverse un moment crucial de son histoire. Pour ses partisans, le choix porté sur Soumaïla Cissé est des plus judicieux et c’est un candidat qui a les qualités et valeurs requises pour relever les grands défis au Mali. En fait, il a assumé des responsabilités tant au Mali qu’à l’extérieur. Bref, » ce dernier a acquis une grande expérience dans la gestion des affaires publiques et dans les organisations sous régionales notamment la Commission de l’UEMOA « .
Visionnaire attaché aux principes de bonne gouvernance, ils font valoir que leur candidat a les qualités exceptionnelles et la maîtrise de la gestion de l’Etat pour être à hauteur de mission une fois élu président de le République du Mali. Par ailleurs, Soumi champion a abordé l’état de notre économie et de notre pays qui requiert des gestes audacieux et rapides. Face à cette préoccupation, il a lancé cet appel : » Nous devons agir tôt, nous devons agir vite, pour créer des emplois, refonder l’école malienne, et jeter les bases d’une nouvelle croissance garantissant l’égalité des chances pour tous. Nous devons le faire avec une plus grande rigueur morale, une plus grande éthique politique, une plus grande exigence d’exemplarité des élites dirigeantes et lutter résolument contre la corruption et l’impunité « .