Selon des informations recueillies par RFI, des personnalités de Kidal, dans le nord du Mali, seraient impliquées directement ou indirectement dans plusieurs attaques perpétrées au Niger. C’est ce qui expliquerait les récentes critiques du président nigérien Mahamadou Issoufou sur le statut de Kidal.
L’armée nigérienne a perdu plusieurs dizaines de ses hommes sur les 800 kilomètres de frontière entre le Mali et le Niger. Les véhicules et les armes emportés et vendus au Haut Conseil pour l’unité de l’Azawad (HCUA) lors des attaques de Midal, Tongo Tongo et tout récemment contre la garnison d’Inates sont l’illustration parfaite, selon Niamey, de ces complicités.... suite de l'article sur RFI