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Cheick Modibo Diarra : Un homme qui place le Mali au-dessus de tout !
Publié le jeudi 25 juillet 2013  |  Le Reporter


© Autre presse par dr
Le Premier ministre malien Cheick Modibo Diarra


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Candidat à la présidentielle de 2013, Cheick Modibo Diarra est certainement celui parmi les compétiteurs qui place le Mali au-dessus de tout. Son passage à la Primature le prouve à suffisance pendant que son combat pour un Mali heureux, à bien des niveaux, constitue un témoignage éloquent.

Astrophysicien, très réputé dans la communauté scientifique, ambassadeur de bonne volonté de l’Unesco, né en 1952, Cheick Modibo Diarra comme tout bon Soudanais, a cultivé l’amour de la patrie à bas âge. On le retrouve alors dans le champ du Papa. CMD devient plus vite un amoureux de la terre. Lui qui aura la chance d’aller faire un tour à la lune. Il est retourné au Mali après des exploits qui lui ont permis d’honorer les couleurs nationales de par le monde. Cheick Modibo Diarra est propulsé au-devant de la scène suite aux évènements de 22 mars 2012. Ici, il démontra encore son engagement pour le Mali, son pays qu’il dit avoir aimé tant. En effet, nommé Premier ministre avec pleins pouvoirs, le 17 avril 2012 pour conduire la Transition au Mali, Cheick Modibo Diarra aura reçu à afficher une certitude à savoir : une constante dans sa volonté à mener le bateau de la transition malienne à bon port ; avec une présence effective, doté d’un caractère trempé, propre à lui, salué par certains, agaçant pour d’autres au service de la réalisation des deux missions de la transition selon l’Accord-cadre que sont : la récupération du nord Mali et l’organisation des élections transparentes et libres.

Mieux, qu’on le veuille ou non, qu’on le dise ou pas, le mérite revient au Premier ministre, Cheick Modibo Diarra d’avoir brillamment défendu en septembre dernier la requête du Mali à la tribune des Nations unies en faveur du déploiement des forces étrangères dans notre pays en vue de la libération des régions occupées par des mouvements armés. D’où la mobilisation à ce jour de la communauté internationale autour du Mali pour une sortie de crise.

Ce jour-ci, le Mali est au bord de l’explosion. Au nord on parle d’attaques pendant qu’au sud, on s’évertue à avoir la tête d’un Premier ministre qui aura placé la restauration de la dignité d’un pays au-dessus de tout. L’histoire est récente, connue de tous. On peut même affirmer que l’organisation de la présente présidentielle vient de là. Mais pour le candidat Cheick Modibo Diarra, la guerre est ailleurs. Celle qui devra être menée pour sortir le Mali dans un trou, creusé par une gestion démocratique de 20 ans. «Jamais, je ne me déroberai, jamais je n’hésiterai quand le devoir m’appelle. L’élection présidentielle du 28 juillet 2013 revêt un caractère particulier parce qu’elle se tient dans un contexte exceptionnel. Elle sera l’épilogue d’une vaste crise politique et institutionnelle de notre pays», dit-il.

Cette guerre de développement du Mali constitue un des axes forts du candidat Cheick Modibo Diarra. Il le dit et l’affirme à chacune de ses sorties durant sa campagne. Comment parler d’un Mali libre après crise sans souveraineté alimentaire. Oui, pour Cheick Modibo Diarra, la souveraineté alimentaire est d’abord et avant tout un combat des Maliens, unis et confiants pour le Mali. Un combat qu’il entend mener avec tous les Maliens. Mais, gagner ce combat suppose que le Mali a retrouvé confiance. Que les Maliens ont retrouvé confiance en eux- mêmes. C’est dire que la renonciation nationale est avant tout une nécessité. Le candidat Cheick Modibo Diarra entend s’atteler à cela.

Pour lui, le Malien doit aimer le Malien et aimer le Mali. Fondé qu’il est que l’amour de la patrie est l’ingrédient de l’engagement national, il cultive toujours cet amour pour le Mali. On comprend aisément alors le sens de sa seule promesse durant cette campagne. «Ce que je promets sans hésiter, c’est redonner à notre peuple la foi et la détermination ; c’est offrir à notre jeunesse courage et espoir ; c’est reconstruire un pays uni, prospère et développé, débarrassé du complexe de la honte et de l’humiliation», conclut-il. Encore le Mali au-dessus de tout. Décidément, cela est une passion chez cet homme.

Aminata BAGHAGHA

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