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Défaites successives des Fama au Nord et au Centre : Des espions français en dessous !
Publié le jeudi 24 octobre 2019  |  Carrefour
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© AFP par STRINGE
Des soldats français de Barkhane et des ex-rebelles de la CMA dans les rues de Kidal, dans le nord du Mali, le 25 octobre 2016.
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Un espion est un agent secret, donc une personne tapie dans l’ombre qui pratique l’espionnage, c’est-à-dire une activité relative à la collecte clandestine de renseignements ou d’informations classées secrètes dans un pays étranger pour le compte de son pays. Son activité peut aller au-delà de la collecte du renseignement. Le sabotage, la destruction, la captation ou l’effacement de données, l’infiltration, la désinformation, la manipulation sont entre autres d’autres missions de l’espionnage. Dans la résolution de la crise malienne, il va s’en dire certainement, que notre territoire est inondé d’espions de tout genre.

La France, à travers les opérations Serval, Barkhane, MINUSMA, a tissé des réseaux de renseignements sur les opérations des FAMA sur le territoire national. Également des réseaux de sabotage existent, parmi lesquels la vente d’hélicoptères en état épave à l’armée malienne, ainsi que des avions de classe sans percuteurs.

Les FAMA se trouvent piégées à travers l’opération Barkhane et celle du maintien de paix de la MINUSMA. Depuis le déploiement de cette force de maintien de la paix par les Nations-Unies, ce ne sont que des Français qui occupent les postes décisionnels dans le but de gérer économiquement les ressources des pays africains afin de conforter leur économie nationale décadente. Des espions français pullulent dans le système des Nations-Unies, et de Barkhane. Le premier à ces postes stratégiques de maintien de paix est sans doute Hervé Ladsous.Sa vraie nature a été découverte le 15 mai 2015 lors de la cérémonie de signature de l’Accord au cours de laquelle il a piqué une insoutenable colère légitime, et mis le peuple malien, terriblement sinistré dans un dilemme». Ce peuple a été dupé, trompé et escroqué sur marchandise, par rapport aux intentions réelles de la France, restées toujours immuables depuis l’indépendance du Mali et même bien avant et pendant la courte vie de la Fédération du Mali.

Le deuxième était M. Gérard Arnaud, représentant de la France au Conseil de Sécurité. Ce dernier était également une autre taupe pour réaliser l’indépendance de l’AZAWAD. C’est lui le concepteur des résolutions contradictoires et floues aux Nations Unies sur le Mali.Ces résolutions malheureusement n’ont pas arrangé les choses .

Il y avait Laurent Fabius, à l’époque le ministre français des affaires étrangères chargé de coordonner et d’expliquer au monde les positions floues de la France sur la résolution de la crise malienne.

Également était à la tâche Yves LE DRIAN, l’homme à la grosse tête, très prompte à élaborer des plans secrets de guerre contre l’armée malienne comme ce fût le cas le 21 mai 2014 à Kidal. Les guerres secrètes contre l’armée malienne ont été mises en application par le Général Thibault qui à l’époque était le chef d’État-major adjoint de la MINUSMA, donc bien introduit dans le plan de partage du Mali.

Un sixième français était au cœur du système il s’agit du représentant de l’Union européenne pour le Sahel en la personne Michel Reveyrand DE MENTHON ancien ambassadeur de la France au Mali, ramené de toute urgence pour les besoins de la cause.

Enfin à l’époque le dernier français du système anti Mali était l’ancien ambassadeur de la France M. Gilles HUBERSON, un talentueux du service des renseignements français chargé de contacter et de conseiller les touaregs du MNLA. Son différend avec le Général de division Yamoussa CAMARA était lié au fait qu’il a été pris la main dans le sac, c’est-à-dire que c’est lui qui avait fourni un téléphone satellitaire de dernière génération au MNLA. Le Général Yamoussa Camara ne l’a pas raté pour ce fait.

Enfin, le planificateur et concepteur du plan de partition du Mali était François HOLLANDE lui-même. Tantôt, il criait sur tous les toits qu’il tient à l’unité et à la laïcité du Mali, et en même temps dans son entretien téléphonique avec le président IBK, il met la pression en terme clair qu’il souhaite que les pourparlers d’Alger aboutissent rapidement, donc accepter sans tergiverser l’arrêt de mort de la République du Mali.

Actuellement, la mise sous tutelle française continue. Un Brigadier général est chef d‘État-major des forces de la MINUSMA est un Français. Le chef du bureau de la MINUSMA à Kidal est un Français. Le Directeur général adjoint de la police de la MINUSMA est un Français. Le conseiller principal de la sécurité de la MINUSMA est un Français. Le premier responsable de la MINUSMA au Mali, le tchadien Annadif est de nationalité française.

En plus de cela, et ce qui est encore plus grave, c’est l’acceptation d’un officier français comme conseiller à l’État-major général des FAMA, là où tous les plans d’opération des FAMA contre les rebelles touareg, les terroristes et les djihadistes sont montés confidentiellement.

Au total les onze premiers responsables de Barkhane et de la MINUSMA sont français. Les seringues de renseignement français sont tellement bien équipées qu’ils peuvent avec les satellites puissants voir IBK à Koulouba étant en France. Comment dans ces conditions nos militaires peuvent être surpris et massacrés par des djihadistes si ce n’est la complicité des forces françaises.

Depuis l’indépendance du Mali, ni le Général Abdoulaye Soumaré, ni le Colonel Sékou Traoré, ni sous le Général Moussa Traoré, ni le président Alpha Oumar Konaré, encore moins le président ATT aucun étranger n’a été admis ne ce reste qu’une visite des lieux. C’est avec l’arrivée d’IBK à la tête du pays et avec sa complicité pour partager le Mali que cela a été possible. Un officier est tapi dans l’ombrepour participer au plan d’opération et transmettre confidentiellement toutes nos opérations projetées et attendre les consignes des autorités françaises et des touaregs.

Nous venons de découvrir donc dès lors celui qui informe la France des plans d’opérations des FAMA. Dans ces conditions, comment pouvons-nous comprendre qu’IBK qui a accepté cette situation ne soit pas un acteur de la partition du Mali ?

Siramakan KEITA
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