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Presidentielle : les observateurs de l’UEMOA dans nos murs
Publié le vendredi 26 juillet 2013  |  journaldumali


© BCEAO par DR
UEMOA : Ouverture de la première session ordinaire du Conseil des ministres
Vendredi 22 mars 2012, Abidjan(Côte d`Ivoire). Le Conseil des ministres de l`Uemoa tient sa première session ordinaire à Abidjan, au siège local de la Bceao. Photo:de gauche a la droite, le Gouverneur de la BCEAO, M.Tiémoko Meyliet KONE et Le président du Conseil des Ministres M. Tièna COULIBALY


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Une dizaine d’observateurs mandatés par l’Union economique et Monétaire Ouest-Africaine viennent d’arriver au Mali pour l’élection présidentielle du dimanche prochain.

Le chef de cette mission d’observation, Mélégue Traoré, était face à la presse hier mercredi 24 juillet 2013 au siège du comité interparlementaire de l’UEMOA. C’était en présence de Idi Boubacar Gado, le secrétaire permanent du comité interparlementaire de l’UEMOA au Mali.

Cette mission composée de dix observateurs veillera sur le déroulement de l’élection dans les grandes régions comme Sikasso, Koulikoro, Ségou, Kayes et Mopti. « C’est pour manifester notre solidarité aux Maliens car, le Mali c’est l’UEMOA.Et nous ne sommes pas là en donneur de leçons », a laissé entendre le chef de la mission, Melégue Traoré docteur en science politique.

Justifiant la nécessité de la présence de cette mission au Mali, il a affirmé qu’elle s’impose compte tenu de la gravité de la crise qu’a connue notre pays. « Notre présence s’impose et se justifie par la nature, la profondeur et l’ampleur de la crise qui frappe le Mali. Une crise inédite. Et le fait de décrypter les origines et les causes de la crise, ne réduit pas le caractère exceptionnel de la secousse», a expliqué. Dr Traoré.

A la fin de leur mission ces observateurs feront des recommandations qui seront envoyées «à l’Etat malien, à l’UEMOA et d’autres institutions». Sur la question des risques de fraude dénoncés par le FDR, le chef de la mission d’observation martelé que c’est l’Etat qui doit prendre sa responsabilité et faire en sorte que ces cartes vierges ne soient en circulation.

Il faut rappeler que le Conseil parlementaire pour la paix avait déjà effectué, au Mali, en septembre de l’année passée, une mission de soutien au peuple malien. A cette occasion, le CIP avait signé un accord avec l’Assemblée Nationale du Mali dans le cadre du règlement de la crise en cours.

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